Choisir entre mari et amante
Datte: 20/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
couple,
extracon,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
extraconj,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... servir ce soir… et il est mal vu de peloter le personnel de service. Par contre, tu peux mater mon cul tant que tu veux. (Clin d’œil appuyé à sa complice du moment)
Cathy, émoustillée, glissa sa main sous la jupe, jusqu’à la lisière des bas, mais Catherine ne lui laissa pas le temps de poursuivre ses investigations.
— Si Madame veut bien passer à table…
La passionaria découvrit, ébahie, le coin repas où trônait une table ronde dressée comme dans un établissement étoilé. Nappe blanche immaculée, vaisselle fine, bougeoirs allumés et lumière discrète, le tout avec vue sur la Saône par l’immense baie vitrée.
Le repas gastronomique avait été en grande partie préparé par Catherine, ses talents de cuisinière laissèrent sans voix sa maîtresse. Cathy voulut une fois se lever pour aider son amoureuse, mais elle fut priée de rester assise et d’apprécier, pour une fois, d’être servie par une autre et non plus de servir les autres. Catherine se montra aux petits soins pour sa belle, lui glissant au passage quelques tendres baisers dans le cou ou effleurant ses seins lorsqu’elle se tenait derrière elle pour les rigueurs du service.
Le repas achevé, Catherine invita la femme de son rêve à prendre le café sur la terrasse, dont le sol en pierre restituait partiellement la chaleur accumulée dans la journée et en faisait un endroit idéal, sous les étoiles. Cathy s’installa, Catherine apporta un plateau contenant café et digestifs et le posa sur la table basse, avant de ...
... s’asseoir à côté de celle qu’elle aimait.
— Marie, est-ce que tu me pardonnes pour les horreurs que je t’ai dites tout à l’heure ? J’ai honte, Marie, tu es la tendresse même et je sais pas y répondre, ça me fait mal, mais tu sais, je viens d’un milieu où ça existait pas vraiment, ou alors comme « un truc de gonzesses » …
— Je n’ai pas à te pardonner quoi que ce soit, mon amour, tu le sais. Je t’aime justement parce que tu es comme tu es, tu es magnifique, touchante de sincérité, belle à m’en faire douter de tout… Embrasse-moi !
Cathy ne se fit pas prier et emprisonna les lèvres, la langue de son hôte et la fit chavirer de plaisir. Les deux femmes se retrouvèrent étendues sur les coussins moelleux, échangeant des caresses de plus en plus sensuelles.
— Viens, Princesse, je vais te mener à nos appartements, plaisanta Catherine en prenant Cathy par la main.
Elle l’accompagna jusqu’à la porte de la chambre d’amis.
— J’ai encore besoin de quelques minutes pour ranger un peu la cuisine, ma chérie, tu peux utiliser la salle de bains comme tu le souhaites, il y a tout ce qu’il faut pour te doucher et pour la nuit. Je te rejoins au plus vite, mon amour…
Cathy découvrit l’immense lit et ses draps de satin crème, les bouquets de fleurs sur la commode, l’éclairage tamisé, la salle de bains avec une douche à l’italienne assez vaste pour quatre, la nuisette en dentelle de soie et le peignoir assorti accrochés sur le côté du miroir, sur lesquels un fin ruban retenait une petite ...