« Josy » : La petite salope prise à son propre piège. Épisode 10
Datte: 19/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... bas-résille et porte-jarretelle, à mes pieds des escarpins ou des bottes à hauts talons.
Ce fut à cette époque qu’elle me fit découvrir « Le Plazza » un cabaret dancing où les serveuses étaient plus que sexy et où des entraineuses encore moins vêtues, étaient spécialement employées afin d’engager les clients à consommer. La clientèle était majoritairement masculine et assez âgée, j’avais pu constater d’après les dires de Françoise, qui connaissait ce milieu qu’il y avait beaucoup de notables de la région, mais également des touristes fortunés, des hommes d’affaires de passage en ville. Pratiquement tous des hommes mariés, allant de trente-cinq à soixante-dix ans.
Françoise et moi faisions partie de leur monde, en tant que clientes, si nous étions considérées comme libertines pour ces notables, nous n’étions ni des salopes, ni des trainées. Ceci m’avait permis de faire la connaissance de certaines personnalités bien placées en ville mais aussi dans la région. Tous ces messieurs très galants, avaient beaucoup de respect pour nous, même si nous ne couchions pas avec toute la clientèle. Tous les plus vieux, savaient qu’ils n’avaient aucune chance, ce qui les rendaient encore plus vulnérables.
Pour nous, c’était devenu notre terrain de chasse favori, j’avais même croisé un soir Germain pourtant marié depuis peu. Nous savions qu’ici, il nous était impossible de finir la nuit seule dans notre lit. Certains soirs, dès que nous jugions qu’un homme était suffisamment jeune, ...
... plaisant et performant, nous nous amusions à le séduire afin de lui proposer un plan à trois. Nous adorions ce petit jeu, cependant, le jour de l’anniversaire de Françoise que nous fêtions au « Plazza », nous nous étions faites prendre à notre propre piège.
En effet, croyant que la cible que nous avions désignée était seule, ce beau mec d’une quarantaine d’années, de passage pour affaire en ville, nous invita à sa table. Nous fûmes surprises de constater qu’il était accompagné de quatre types de son âge. Si nous avions accepté la coupe de champagne, je n’avais pas l’intention de participé à une orgie. Seulement Françoise n’était pas contre, elle insista tellement, que je les avais suivis dans une de leur chambre d’hôtel.
Nous fûmes cette nuit-là, telles deux poupées gonflables, malmenées dans le bon sens du terme. Les cinq parisiens nous avaient prises par les trois orifices, bouche et double pénétration mais aussi, pour ma part une première : double vaginale et double anale et fist, sans compter les douches de sperme reçues sur le visage et sur ma poitrine. Toutefois je ne suis pas près d’oublier cette nuit de folie où j’avais pris plusieurs orgasmes terribles.
Je menais donc ma vie pleinement, pourtant en avril 1973 alors que je venais de fêter mes 23 ans, tout alla basculer une nouvelle fois pour moi. Françoise avait une semaine de congé pour Pâques et me demanda de venir avec elle à Paris. Il est vrai que je n’avais pas l’occasion de quitter la région et cette idée ...