« Josy » : La petite salope prise à son propre piège. Épisode 10
Datte: 19/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... amie et lorsque j’allais en ville, nous nous arrangions afin de déjeuner ensemble. Elle sut me faire comprendre que je devais tirer profit de mes atouts auprès des hommes sans scrupule dont j’avais besoin : « Tu as une arme que peu de femme ont : ton physique et ton charme. Apprend et n’hésite pas à t’en servir. »
Françoise avait vu juste, je ne m’en étais pas rendu compte mais quelque part, je le faisais déjà. En effet au bar, je faisais bien mieux que de me débrouiller dans mes tenues toujours sexy avec lesquelles je faisais rêver la clientèle. En quelques années, j’avais su augmenter le chiffre d’affaire, le bar ne désemplissait pas, nous faisions de très belles recettes. Les tournées d’apéros n’en finissaient pas et les fûts de bière se vidaient à vue d’œil. Ne voyant Marius qu’un minimum dans la journée, j’étais souvent seule pour gérer l’établissement.
Les matins, il faisait l’ouverture et venait une heure pour les coups de feu le midi et le soir à l’apéritif. Il comptait dorénavant sur mes capacités et mon savoir-faire, afin de faire tourner son affaire. Au bistrot de la place et dans tout le village j’étais considérée comme la gérante de ce commerce. De mon côté, même si je n’étais qu’une salariée, moi aussi je me considérais quelque part, comme la patronne. C’était chez-moi ici, je faisais fonctionner la boutique à ma guise, sans que Marius ne vienne me mettre des bâtons dans les roues.
Je m’occupais des commandes auprès de nos fournisseurs, allais à la ...
... banque et chez le comptable et je gérais le personnel en place ou en extra. Depuis Tony m’avait quitté, en effet, étant trop possessif, il ne supportait plus de me voir aussi aguichante envers la clientèle et désirait que je quitte ce métier. N’ayant plus personne pour assurer la sécurité, en sortant les jeunes ayant un peu trop bu et voulant en découdre avec d’autres, j’avais préféré arrêter les soirées jukebox un an après les avoir mises en place.
N’ayant plus de partenaire régulier, j’étais libre de sortir à ma guise. Françoise, ayant également divorcé, venait me retrouver « au bistrot de la place » quelques soirs par semaine et tous les samedis, nous nous changions avant de nous rendre en ville après la fermeture du bar. Mon amie savait me mettre en valeur, me disant tu es belle et très bien foutue, montre-le. Pour sortir, elle me conseilla de ne pas porter les mêmes tenues sexy que j’avais en semaine au travail mais des vêtements classe mettant en valeurs ma jeunesse et ma plastique.
Avec mon joli minois, mon mètre soixante-deux et mes cinquante kilos à peine, mes jambes fines, mon fessier musclé et ma poitrine un peu forte avec mon 90 B j’avais tous les atouts pour attirer les regards de ces messieurs qui se retournaient sur mon passage. J’avais donc sur ses conseils rempli ma garde-robe. Je portais pour ces occasions, des robes de soirées légères, assez moulantes avec un beau décolleté, courtes ou mi- longues mais largement fendue dévoilant ma cuisse. Dessous, des ...