1. COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (1/4)


    Datte: 19/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    • Séraphine, ma chérie, il est impossible de continuer à vivre à quatre sur les revenus de notre ferme.
    
    Pour la deuxième année, la récolte de blé a été diminuée une première fois de 20 % et d’un tiers cette année.
    
    Les gelées ont dévasté l’intégralité des pommes de notre verger, sans compter l’augmentation des engrais et des carburants pour faire fonctionner nos tracteurs et moissonneuses.
    
    Ton frère Ludovic va reprendre la ferme et doit donc rester.
    
    Tu sais, Germain, notre cousin notaire à Paris, il se prose de t’embaucher.
    
    Tu vois, c’est utile de nous être saigné pour que tu passes ton bac.
    
    Il aura un petit logement sous les toits dans une chambre de bonne tout près de son étude dans lequel tu pourras te faire à manger.
    
    Avec sa femme, ils t’attendent mardi matin en fin de matinée.
    
    Tu auras le temps de t’installer, car tu commenceras le lundi 1er octobre, mais il t’en dira plus lorsque tu les rencontreras !
    
    J’ai fait ma valise et le mardi je débarque gare de Lyon.
    
    De la gare de Chagny à Paris, dans les quatre heures du trajet, je suis assise dans un compartiment presque vide.
    
    À Beaune, un homme quarante, quarante-cinq ans, me tient la jambe allant même jusqu’à me donner son numéro de portable.
    
    Il se dit célibataire s’appelant Christophe et habitant à Créteil près de la mairie.
    
    Il commence à grisonner et à un catogan retenant ses cheveux.
    
    J’aurais pu prendre le TGV partant de la gare du Creusot ou aussi de Chalon, mais le prix du ...
    ... billet était trop cher pour la bourse de mes parents.
    
    Pour mon travail à la ferme, mes parents arrivaient à me dégager une centaine d’euros.
    
    J’arrivais à gagner quelques sous au moment des vendanges sur la côte chalonnaise et les dimanches matin dans un supermarché où j’ai réussi à travailler comme caissière.
    
    J’ai un petit copain qui m’aide ce jour-là, c’est lui qui vient me chercher et qui est là pour me reconduire.
    
    C’est Jhonny qui m’a enlevée mon pucelage le soir de ma réussite au bac dans la première soirée où mes parents ont accepté que je m’y rende.
    
    Grande, 1,76 pour 60 kilos lorsque j’étais petite, on m’appelait la planche à pain.
    
    Heureusement, un peu tardivement, comme mes règles, à 16 ans ils se sont un peu développés.
    
    Brune aux yeux vert, on peut dire que je suis une belle femme.
    
    Je coiffe mes cheveux avec une queue-de-cheval.
    
    Certains verront une allusion au fait d’être fermière.
    
    Dans mon village et lors des vendanges, je me fais draguer, mais je me dis fidèle à Jhonny façon d’éconduire les emmerdeurs.
    
    En contrepartie, lorsqu’il vient me chercher les dimanches, je passe l’après-midi au terrain de foot chaque fois qu’il joue dans notre village.
    
    Après, je fais la troisième mi-temps dans son lit.
    
    Bref, je baise plus par intérêt que par plaisir même si fréquemment Johnny m’amène à l’orgasme.
    
    Orgasme, c’est un grand mot, je peux plutôt dire un grand frisson.
    
    Paris gare de Lyon, je suis le plan que mes parents m’ont donné.
    
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