Méli... Mélo !
Datte: 19/06/2025,
Catégories:
fh,
jeunes,
mélo,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... l’avait espéré. Des montgolfières qui, malgré leur cubage imposant, passeraient sans problème le test du crayon à papier !
Mais pour l’heure, les attentes pressantes du jeune homme se situent bien plus bas que le balcon orgueilleux : c’est le jardin d’Alejandra qui l’attire irrésistiblement. Jardinier dans l’âme, il s’avoue qu’il espère bien pouvoir le biner ! Comme quoi, être romantique n’interdit pas d’être grivois à l’occasion. L’occasion fait le luron, c’est bien connu…
Sa main droite ne tente plus donc de s’insinuer dans le goulet encore étroit des cuisses serrées et remonte doucement l’échelle des dentelles du frêle sous-vêtement. Comme de premières phalanges curieuses tentent de se glisser sous l’élastique du slip, Alejandra laisse échapper un petit « non » ! Un refus bien discret en fait, à peine soufflé, un dernier signe, pense Jean-Phi, juste avant de rendre les armes, ultime baroud d’honneur, de son honneur. Djip alors la bâillonne pour étouffer un nouveau refus, pensant que si elle ne veut réellement pas céder, un simple mouvement du bassin, une minuscule ruade suffira à l’arrêter. Mais quand ses doigts repartent à la charge, aucune rebuffade, bien au contraire : Alejandra s’abandonne, ses épaules se relâchent, sa tête bascule dans l’oreiller et son bassin vient à la rencontre du sien. Sans précipitation aucune, Jean-Phi fait glisser le cordon élastique sur les hanches, trousse le petit vêtement et ses doigts s’ébrouent dans la pelouse rase du pubis. Comme ...
... précédemment, il caresse le mont de Vénus, au contact direct de la peau désormais. Il temporise, flatte le monticule herbeux, comme on flatte l’encolure d’un cheval pour le calmer, le rassurer. C’est sa partenaire qui soudain prend l’initiative, elle qui se débarrasse prestement de l’inutile culotte, elle qui ouvre largement le biseau de ses cuisses.
— Viens, souffle-t-elle !
JP se redresse un peu et l’air inquiet annonce :
— C’est… que je n’ai pas de…
Alejandra le coupe :
— T’inquiète, je prends la pilule ! Viens, implore-t-elle encore.
Jean-Phi aurait adoré laisser ses doigts musarder dans la combe ennoyée, plonger dans les flots de cyprine, découvrir la corolle de la fleur délicate, agacer son pistil. Mais il imagine qu’il en aura tout le loisir plus tard : « On n’en est qu’au début des… félicités et… ce que femme veut, JP le fait ! »
Il n’en mène pas large pour autant au moment de pénétrer l’antre mystérieux. Une plongée dans ce qui lui restera à jamais, il le sait, territoire vaguement inconnu, contrée aussi idyllique que mystérieuse dont aucun homme ne percera jamais l’entièreté des secrets, la totalité des arcanes. La gangue est étroite et serait sans doute impénétrable si des flots de miellat n’en facilitaient l’abordage. Le gland a franchi le seuil, mais JP hésite, le braquemart recule, comme pour prendre de l’élan. « Y aura-t-il un obstacle à éliminer ? » Il en doute, mais…
Alejandra se découvre à la fois totalement abandonnée et terriblement ...