L'ouvrière Soumise Ch. 04
Datte: 15/06/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byGKCD, Source: Literotica
... de mes cuisses se tendent. Je vais jouir encore une fois tandis que les deux doigts entre mes fesses sont rejoints par un troisième. Je me sens ouverte comme jamais . L'envie de jouir est trop forte, la vague qui monte en moi m'amène irrésistiblement au sommet du plaisir. Ma vision se trouble, mes pensées m'échappent, un autre orgasme m'emporte. Je crie, hurle même ma jouissance en tremblant de tous mes membres. Je jouis, jouis encore et encore, pleure presque de tant de plaisir.
Marcel se retire prestement de mon ventre et, d'un coup de reins, s'enfonce dans mon anus qu'il a si bien préparé. Les sphincters ne résistent pas longtemps à la puissance de sa bite au sommet de son excitation. Ils cèdent pour laisser la queue s'engouffrer toute entière dans mon fourreau de chair. La douleur est intense, mais jouissive. Je mords le drap à pleines dents pour étouffer le cri qui s'échappe de ma gorge.
Mon tortionnaire s'immobilise, bien calé au fonds de mes reins. Il sait que quelques secondes seront suffisantes pour que je m'habitue à sa présence. Il n'est pas pressé. Je souffle, cherche l'air, je me mets à haleter comme un chien. La douleur est forte que j'ai l'impression que son anus va se déchirer. Heureusement, celle-ci s'estompe rapidement.
Je me surprends à bouger mon cul, avançant doucement pour faire sortir le pieu de chair, il me tire aussitôt pour m'empaler. Le plus dur est fait, toute la longueur de sa queue coulisse maintenant entre mes fesses. Marcel me prend ...
... aux hanches, s'y agrippe et commence à s'activer. La sensation est monstrueuse, jamais je n'ai été prise aussi puissamment. Je ne sais plus qui de la douleur sourde, qui de l'énorme sensation de plénitude entre mes fesses prédomine.
Marcel me caresse les reins, les fesses. Il est aux anges de pouvoir me sodomiser une nouvelle fois. Une de ses mains passe sous mon ventre, ses doigts filent vers ma fente pour s'attaquer à mon clitoris dresser comme une petite bite. Il le branle en le pinçant doucement entre ses doigts. Le plaisir revient. Je me sens possédée comme jamais. Sa colonne de chair entre et sort de mes entrailles à une cadence de plus en plus rapide. Je me surprends à donner moi aussi des coups de reins pour me faire embrocher le plus profondément possible. Sa bite m'électrise, il se penche sur moi, lourdement. Il m'embrasse la nuque, ses baisers me procurent d'étonnants frissons, je me sens écrasé, je ressens toute sa force. Sa queue entre et ressort totalement avant de replonger au plus profond de moi.
Il accélère le rythme, sa queue grossit, élargit encore plus mon fourreau anal, je me contracte, mes spasmes le fusillent, l'enserrent dans mes crispations, il ne peut plus se retenir, son sperme gicle en moi, à jets puissants. Son foutre qui envahit mes intestins. Mon ventre s'alourdit d'une douce chaleur, ça devient doux et glissant, un plaisir inconnu m'envahit, je jouis du cul, je ne pouvais croire que l'on puisse jouir de la sodomisation, une barrière tombe ...