L'ouvrière Soumise Ch. 04
Datte: 15/06/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byGKCD, Source: Literotica
Elle prend goût à la sodomie
Samedi matin, après les courses, je rentre en ville pour rechercher une petite pharmacie discrète que je trouve dans une petite rue. La pharmacienne est seule au comptoir, comme nous sommes seules, je lui raconte ce que m'a infligée mon amant et la gène que j'éprouve en ne voulant pas que mon mari le sache.
Compatissante, elle me vend de la crème apaisante plus une anesthésiante en cas qu'il veuille recommencer son forfait. Nous bavardons pendant un bon moment sur les amants un peu trop envahissant, sans lui parler du chantage que me fait Marcel, elle me réconforte sur les agissements des hommes.
Plusieurs fois dans la semaine, Marcel c'est arrangé pour passer à côté de moi en me susurrant
-A vendredi après midi.
Il a peut-être peur que je ne revienne pas ou pire que je lui fasse des ennuis, suite à la sodomie forcée. Mais que puis je faire contre lui? Il a fait une vidéo encore plus compromettante que celle de son appartement, plus je repense au plaisir qu'il m'a donné ce jour là, plus je me dis que le piège, qui se referme sur moi n'est pas si désagréable que ça.
C'est avec un peu de retard que je rentre dans la grange, il me sourit d'un air de soulagement. Il me prend par la main pour me conduire dans cette chambre ou il y a toujours le caméscope et le sac au pied du lit avec un drap propre.
Aujourd'hui j'ai mis une robe à fleurs avec deux poches qui contiennent mouchoirs aussi la crème anesthésiante car je suis sûr qu'il ...
... va vouloir recommencer à me sodomiser.
Il ouvre ma robe et vient se coller à ma bouche pour un baiser mouiller tout en retirant ma robe par derrière, puis me pousse pour que m'assoie sur le bord du lit.
Il prend ses deux pinces pour mes seins, j'ai un mouvement de recule involontaire.
- Si tu n'es pas plus coopérative que ça, tu vas finir attachée!
Vendredi dernier mes mamelons étaient si sensibles que lors du retour j'ai ouvert le haut de ma robe, car le frottement devenait insupportable et après la douche j'ai mis du coton dans mon sou-tif.
Le lendemain après la pharmacie, je me suis tartinée les tétons et l'anus de crème apaisante.
Il me fait allonger sur le lit, genoux pliés et écartés. Il s'agenouille entre mes cuisses.
Il plonge sa tête entre elles, plaque sa bouche contre les lèvres de mon sexe, passe sa langue entre elles et remonte jusqu'à mon clitoris qu'il se met à sucer, mordiller, m'arrachant des petits gémissements. Mes cuisses s'écartèrent d'elles même au moment où un gode tiède se glisse entre elles pour se diriger vers ma chatte déjà toute trempée. Deux doigts experts écartent mes grosses lèvres charnues et l'enfoncent dans mon intimité lentement.
Il est plus gros que la première fois. Arriver au fond, la main qui le tient presse mes grandes lèvres, sa bouche aspire avec force mon clito gonflé par le désir.
Le gode ce met à vibrer, tandis qu'il le retire et l'enfonce d'un geste lent et continuel en moi et glisse sa langue tout autour ...