Temporalité létale
Datte: 29/07/2019,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byTetsuya, Source: Literotica
... plusieurs semaines, je déprimais seul dans mon appartement. Elle est partie, je devais m'y faire. Je n’arrivais plus à peindre. J'étais allé prendre un verre, signant la fin de ma réclusion après un mois. En sortant, j’avais remarqué que le propriétaire avait planté un saule près de l’escalier. Le bar était plutôt bien. Des pointes de jazz lui donnaient une ambiance intéressante. Mon regard s'était pointé sur elle. Une elfe ou une nymphe, peu importe cette fille ne pouvait pas être humaine. Elle avait des grandes jambes gracieuses qui sortaient d'une jolie petite robe rouge et bleue. Elle avait les cheveux blonds attachés dans le dos et un doux petit nez tout à fait coquin. La joie resplendissait de son corps. Elle me regardait sans arrêt, je faisais tout pourtant pour qu'elle ne me voit pas. Moi, le ténébreux devant cette enchantement de couleurs et de joie. Elle but un peu et sortit de l'endroit. Elle déambulait seule à travers les rues de Montréal. Je la suivais de loin. Cet être callipyge me fascinait, comme si son apparition dans mon univers n’était destiné qu’à moi. Elle marchait, semblant presque à l'occasion danser. On eut dit que son corps magnifique voulait apprécier toutes les vertus de la nuit. Parfois elle se retournait, je n'eus pas l'impression qu'elle me voyait et pourtant elle semblait chercher quelqu'un. Je traversai de l'autre côté de la rue, pour pouvoir marcher à sa hauteur. Lorsqu'elle me vit, elle s'arrêta brusquement. Elle me regardait intensément. Je ...
... levai le bras vers elle, car un homme qui marchait vite allait la bousculer. Elle ne bougea point et continua de me regarder. J’eus alors l’impression d’avoir une hallucination. La jeune nymphe s’estompa pour laisser place devant moi à une femme enceinte. Je secouai la tête. La nymphe traversait la rue, et c'était presque un miracle qu'elle ne soit pas happée par un véhicule. Elle s'approcha de moi. Mon souffle était court, j'étais paralysé par sa beauté. Elle était dangereusement près de moi et elle me poussa brusquement vers son corps. Elle semblait frémir dans mes bras par ce simple contact. Elle m'embrassa avec fougue et désir. Je lui caressai doucement le dos pour lui proposer de venir chez moi. Elle ne dit rien et me suivit jusqu'à mon appartement. Rendu chez moi, je l'étendis délicatement sur le sol de mon salon. Elle me regardait avec un sourire coquin rempli de charme. moi. Je souleva le bas de sa jupe. Elle était déjà toute mouillé lorsque j'enfouis mon tête entre ses cuisses. Elle criait sous les coups de ma langue et sous les mouvements de mes lèvres. «Continue charmant vampire, continue». Je n'avais jamais été nommé ainsi. Sa façon de dire vampire était absolument érotique. Étrange, peut-être, mais sublime. «Prends-moi beau démon». Je me leva de sous sa jupe pour me coucher sur elle. Je l'embrassa sur la bouche, puis je descendis sur elle pour embrasser ses seins. Ensuite je la pénétra en lui caressant la poitrine. Elle frissonnait de plaisir sous moi en poussant ...