Une bonne action
Datte: 13/06/2025,
Catégories:
f,
h,
fh,
hagé,
extracon,
handicap,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
confession,
mast,
Auteur: Effrontee, Source: Revebebe
... De tes seins, de ton ventre, de tes cuisses… et de ton sexe qui est bouillant de désirs. Laisse-moi te faire l’amour faute de te baiser.
Le bouquin est tombé à mes pieds, je deviens folle. Jamais on ne m’a fait l’amour sans me toucher ni me regarder sans des yeux brillants de désir. Je vais bientôt jouir, je le sens. Je ne cherche plus à me retenir. Je ferme les yeux et l’enchantement m’embrase.
Je me sens aveugle à mon tour ; les bruissements de la soie de sa robe d’intérieur exhibent à mes oreilles sa main qui s’accélère autour de son sexe. Je ne veux pas le voir, je veux le ressentir comme il me ressent. Un doigt joue avec mon clitoris, un autre s’insinue en moi. Il me pénètre, sa bite s’enfonce lentement. Mes chairs chauffées à blanc le happent, l’engloutissent. Je sens chaque millimètre de sa progression. Ça y est, il bute au fond, marque un temps d’arrêt. Tout mon corps se crispe dans l’attente. L’attente de recevoir sa semence, l’attente de la jouissance. Je ne respire plus, tous mes muscles bandés vers lui, vers son odeur, maintenant plus forte, plus virile.
— Plus fort, Monsieur, plus loin…
Je n’ai plus aucun sens de la réalité, je plane alors que mon orgasme se confond à ses gémissements quand son sperme vient envahir ma vulve. Je me laisse aller, fécondée, heureuse, épanouie. Je coule entre mes jambes, jamais je n’ai ressenti une telle excitation. Jamais.
Il me faut quelques minutes pour refaire surface. Ma culotte est roulée sur mes cuisses, mes ...
... jambes impudiquement écartées. J’ai encore une main qui caresse mon sein. Je n’ose pas ouvrir les yeux. Peur de voir la réalité crue. Comprendre que tout cela n’est pas réel.
Que cet homme dont je venais de partager la jouissance s’était évanoui dans l’espace !
Il a pénétré mon âme. Je suis encore plus nue… je lui ai exhibé mon dedans, mes cellules, mes os, mon sang. Il m’a tout pris, je lui deviens familière. Pourtant il est resté loin de moi et je l’ai vraiment senti en moi !
Quand mes yeux s’ouvrent, je le trouve affalé sur son fauteuil, les bras pendants de chaque côté de son corps. Il a l’air endormi, sa respiration est régulière et profonde. Il est beau.
La ceinture de sa veste d’intérieur est dénouée, ouverte. Son sexe en demi-érection m’apparaît en pleine lumière, échappé de l’ouverture de son pantalon. Mon premier réflexe est de détourner les yeux de peur de me faire gronder de voir l’interdit. Mais vite, je me ressaisis et, à peine intimidée, je braque mes yeux sur cette queue que tout à l’heure j’ai tant désirée en moi. Une nouvelle fois, une chaleur envahit mon ventre. J’ai envie de lui, de son sexe, de ses lèvres, de ses yeux !
Mais voilà, plus d’une heure que je suis là, pour une séance prévue d’une heure. Ma conscience arrive à éteindre le feu qui naît en moi. Doucement, pour ne pas le réveiller, je me rajuste et, sur la pointe des pieds, je m’apprête à partir.
— Tu reviendras, Chantal ?
— Oui, Monsieur, réponds-je sans hésiter.
— Tu m’as fait ...