Les malheurs de Clotilde Ch. 20
Datte: 13/06/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... Comme dans un film, je peux enfin le dire : THE END.
J'entre dans la pièce de vie, je n'en ai pas franchis les limite, où je peux voir sans être vue. Là, je me fige. Ce que je vois m'horrifie. Mon mari est assis dans le fauteuil en face le canapé, sur lui une blonde, empalée sur son sexe, monte-et-descend à un rythme rapide. Se roulant une pelle, ils ne font pas de bruit. Je ne peux pas voir le visage de la salope, mais vu le corps qu'elle a, vu son cul de fou, cela doit-être un putain de canon. La fille est coiffée avec une queue de cheval, la queue bouge de droite à gauche, au rythme où elle baise mon époux. Si ce ne sera pas le retour que j'ai rêvée, mon mari me prenant dans ses bras en pleurant... je ne ressens aucune jalousie, c'est moi qui l'ai autorisé pour sauver notre mariage. Je ne ressens aucune colère non plus. Même si j'ai disparue, c'était il y a des semaines, voir des mois. Mon époux a des besoins, c'est un homme. J'ai pus voir à mon corps défendant que les mâles ont d'ailleurs, pour la plupart, beaucoup de besoin sexuel.
Ce qui me blesse, ce qui me mettrais dans une colère folle, si je n'étais pas si épuisée, c'est qu'il le fasse chez nous. Dans notre maison. Il baise en outre cette salope dans mon fauteuil, celui dans lequel je m'assois tout le temps quand je lis, quand je regarde la télé. C'est mon fauteuil préféré et lui baise sa morue dessus.
C'est plus fort que moi, je n'avance pas. J'attends qu'ils aient finis pour entrer. Je dois avoir un ...
... blocage, cela doit être mon conditionnement. Il va me falloir beaucoup de temps pour passer outre. Je m'en rends compte.
Tout en baisant mon époux, sans cesser de l'embrasser, la blonde défait ses cheveux blonds. Ils sont longs, presque jusque aux fesses. Elle accélère ses montées et descente, puis se fige au bout de deux ou trois minutes. Je comprends qu'il jouit en elle. Quand il a fini, elle se retire, je peux voir un peu de sperme qui commence à sortir d'elle. Elle s'agenouille devant mon mari, toujours dur, l'avale, commence une fellation. Je ne peux toujours pas voir son visage. Mais la fête est finie, je vais récupérer mon mari, la morue va se casser, on va appeler les flics. Il est temps de mettre un terme à tout cela.
J'entre, la fille est de dos, je vois son cul, son sexe dégorgeant du sperme de mon mari. Ses cheveux qui montent et descendent sur la hampe. Je l'ai tellement fait, pas avec mon époux, avec des bâtards qui m'ont forcée à le faire. Je sens une envie de vomir m'envahir en pensant à mon calvaire. Il ne faut pas, pas avant que les flics ne soient chez moi.
Mon mari qui regarde la morue le sucer ne me voit pas. J'attire alors son attention en parlant :
- Chéri...
La blonde va pour redresser la tête, mon mari appuie sur son crâne pour qu'elle continue sa pipe. Le salaud. Il me retrouve, il pourrait cesser sa partie de baise. Mais je suis tellement soulagée, que je ne lui en tiens pas rigueur.
- Tu étais où?
- J'ai été enlevée... violée... ...