1. Fétichisme - Le pet (2/3)


    Datte: 12/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Senteurs, Source: Hds

    ... l'odeur car je veux l'encourager avant de penser à quoi que ce soit d'autre.
    
    — C'est tout ce que j'ai pour le moment…
    
    Akari rit un peu mais cela ne dura pas longtemps.
    
    — Attends, j'en ai un autre qui arrive.
    
    Elle vient à nouveau derrière mon coup comme pour s'y réfugier de la chose dégoutante qu'elle s'apprête à faire. Elle écarte un peu sur le côté le string noir qu'elle porte, attend un moment puis émet un autre gaz, bien bruyant. Son odeur parvient à moi en quelques secondes ; me faisant comprendre que celui qui le précédait n'était que son annonciateur. Le simple fait de respirer par le nez m'expose à l'odeur du pet d'Akari.
    
    — Ça pue. Hmmmm…
    
    Quelques secondes passent. Je rajoute :
    
    — Je crois que ma queue ne peut se durcir plus que ça !
    
    Sur ces quelques mots, je recule un peu la tête pour faire comprendre à ma douce coquine que je veux la voir. Je l'embrasse sur les lèvres pour lui exprimer ma gratitude. Je la laisse me sentir, m'embrasser et me faire quelques câlins. Est-elle aussi heureuse que moi d'avoir pu se délivrer ainsi ? Nos deux visages s'effleurent, se caressent… Maintenant, elle rapproche son visage près de mon torse et commence à l'embrasser et à le caresser. Pendant ce temps-là, le bruit de ce deuxième pet résonne encore dans ma tête et son souvenir est presque aussi plaisant que le pet lui-même !! Je n'oublierai jamais la manière dont il s'est échappé du vase illégitime qui le contenait. Ce gaz a du être retenu tellement longtemps ...
    ... qu'il a produit un son d'explosion quand il est sorti. Je me dis que l'accumulation a dû faire trembler le trou du cul de cette japonaise si mignonne.
    
    Le son résonne encore dans ma tête, l'odeur persiste, l'image d'Akari se réfugiant derrière-moi pour se lâcher me revient et mon pénis ne se repose pas une seule nanoseconde ! Le pet n'existe désormais plus mais son effet se fait encore ressentir chez moi. Parmi tous les plaisirs sexuels que j'ai connus, celui-ci est le plus puissant.
    
    Je n'attends pas plus longtemps avant d'aller chercher de mes mains le trou sale de la jolie fille, de frotter mes doigts dessus afin de les charger de l'arôme désagréable qui hante éternellement ces lieux et de présenter mes enfin doigts à Akari qui devient de plus en plus coquine. Elle sent mon doit :
    
    — J'aime être sale pour toi.
    
    Je crois qu'il y a quelque chose d'aussi plaisant que ces flatulences. C'est le fait qu'on n'ait pas grillé les étapes, Akari et moi. On aurait, certes, pu y aller de manière plus progressive et plus lente en imposant une certaine distanciation avant de péter par exemple, mais on n'est pas allé plus vite que la musique non plus, si je puis dire. On a commencé par parler de notre amour pour la pornographie. De nos jours, presque tout le monde regarde ce genre de vidéo mais Akari et moi ne nous limitons pas à les utiliser comme exutoire pendant nos nuits les plus solitaires. On y a trouvé un certain encouragement et l'assurance pour croire en ce que nous aimons : ...
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