1. Fétichisme - Le pet (2/3)


    Datte: 12/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Senteurs, Source: Hds

    ... coquine, Akari a surement eu une expression de gène témoignant du peu de timidité qui lui reste. Le fait que le son de sa flatulence soit considéré comme horrible voire dégueulasse par quelqu'un qui n'y attache aucun plaisir sexuel m'excite encore plus. Tu commences à connaitre mon raisonnement maintenant.
    
    Bien-entendu, tout cela ne serait pas horrible et plaisant sans la puanteur amenée par la libération musicale d'Akari. Avant d'être éproctophile, c'est-à-dire attiré sexuellement par les gaz intestinaux, il y avait quelque chose que je détestais à chaque fois qu'un pet se faisait entendre près de moi. C'est ce petit délai qu'il y a entre le moment de l'émission du gaz et le moment ou l'odeur parvient enfin à mon nez. Une chose désagréable allait se produire et je le savais d'avance. Je n'avais plus qu'à attendre ce que je n'aimais pas. Ce fétichisme est entré dans ma vie presque aussi soudainement que ce pet qui atteint mon nez. Je savais que ça allait sentir les œufs que la sexy japonaise avait mangé mais que ce soit ce type de nourriture ou autres, le fait de savoir que c'est l'odeur dégoutante voire insoutenable d'un gaz intestinal est tout ce qui compte. Le son, l'odeur, parfois même la sensation sur les mains quand on les rapproche de l'anus, l'idée de la libération…etc. Chacune de ses caractéristiques est un moment à elle seule. Chacune peut être vécue séparément. Le pet est le seul moment qui contient plusieurs moments !
    
    L'odeur du gaz d'Akari est horrible et ...
    ... dieu que j'aime ça. Je crois que si les flatulences sentaient comme un savon aux arômes de lavandes je n'en voudrais pas. Celle du pet d'Akari dura un bon moment et je ne manque pas de tout aspirer tout en entendant son émettrice émettre autre chose, des petits cris de gène. Quand elle m'entend renifler son exécrable odeur, elle est encore en train d'embrasser mon coup dans une position qui fait penser qu'elle allait me chevaucher, la tête derrière mon coup, se tenant sur ses genoux et prête à m'enlacer à tout moment. Ceci dit, la pénétration est loin d'être ma préoccupation à cet instant précis.
    
    Je suppose que la belle avec moi se cache un peu pour le moment et c'est un peu plus facile pour elle de me faire plaisir dans cette position même si elle a déjà prouvé qu'elle pouvait franchir certaines barrières sexuelles et laisser enfin son côté très sale ressortir. Lui donnant ainsi la possibilité de la rendre beaucoup plus belle. Je lui caresse les bras avec les mains dans un geste d'affection sincère :
    
    — Je te remercie. Mais il faut que je remercie également...
    
    Et là je saisie comme je peux ses fesses sur lesquelles elle est assise ; Akari ayant compris que je voulais voir sa divine fleure anale, me la présente. J'écarte les fesses pour mieux la voir puis je l'embrasse en lui exprimant ma gratitude à chaque fois
    
    — Merci. Merci. Merci.
    
    Chaque « Merci » est précédé d'un long baiser de reconnaissance.
    
    Ma coquine préférée est maintenant plus silencieuse. Préférant ...
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