1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (23) : Tullia e


    Datte: 11/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... d’un coup et commence à pilonner Tullia, ses couilles lourdes tapant contre les fesses de la patricienne. Même si elle a déjà une intense expérience d’hypersexuelle, Tullia doit admettre que l’intendant d’Agrippine est un baiseur hors pair. Elle enchaine les orgasmes, qui vont crescendo, sans qu’Agermus ne cède. Il lui impose son rythme, sa puissance. Il la démonte, la tenant par les cheveux.
    
    Tullia passe des gémissements aux cris, puis aux hurlements. Ses larmes coulent tellement son plaisir est violent :
    
    • Oh tu me tues ! Vas-y, n’arrête pas, n’arrête pas ! Baise-moi !!!! Encore !!!! Oui, comme ça !
    
    • Tu aimes ça, hein, petite garce ? Dis-moi ce que tu es ?
    
    • Une putain !
    
    • C’est évident ! Prends-ça ! Tu es une salope !
    
    • Oh j’aime quand on me parle ainsi pendant qu’on me baise ! Continue !
    
    • Chienne, cochonne ! Dis à qui tu es, maintenant ?
    
    • Je suis à toi ! Uhhh, tu pourras me prendre à chaque fois que tu en auras envie.
    
    A l’extérieur, les cris de la Domina sont tellement forts que les esclaves qui s’affairent à nettoyer l’atrium et les abords de la piscine s’interrompent, abasourdis.
    
    Certains n’hésitent pas à faire des commentaires, exprimant leurs sentiments, leur manque de respect pour une Domina qui se laisse aller à ce point :
    
    • Par Mercure, qu’est-ce qu’il lui met !
    
    • Haec mulier maxima umquam meretrix est! (« Cette femme est la plus grande putain que je n'ai jamais vue » !)
    
    Parsam ne dit rien, figé. Il a en lui l’envie de ...
    ... fuir, mais il ne le fera pas. Il aime Tullia et veut, dans la mesure du possible, la protéger, d’abord contre elle-même. Et puis il y a ce bébé, la fille de Valens. Il a promis à Valens d’en prendre soin. A ses côtés, Lucia comprend et prend la main de Parsam, la serre, dans une infinie tendresse. Leur rapprochement donne de la force à Parsam comme à Lucia
    
    Dans la chambre, Agermus baise Tullia sans interruption depuis plus d’une demi-heure. Il atteint enfin les limites de sa formidable résistance :
    
    • Je vais venir. Je vais te remplir. Je vais te féconder !
    
    • Ouiiiiii je veux ta semence ! Viens !!!!!
    
    Le visage de Tullia est baigné de sueur, ses traits sont déformés par le plaisir. Agermus va lui laisser un temps de récupération, toujours sans marquer la moindre tendresse. Puis il lui impose de réveiller sa virilité avec ses talents de fellatrice, avant de la prendre à nouveau.
    
    Ce n’est qu’après qu’ils aient baisé pendant deux heures qu’Agermus annonce à Tullia l’autre motif de sa visite : elle est « invitée » à rencontrer Agrippine, le lendemain, à sa villa de Baules. Il rassure Tullia en lui disant qu’il est aussi venu pour la connaitre dans tous les sens du terme. Et en effet, Agermus fut la première des nombreuses personnalités de Baïes à partager la couche de la jeune patricienne. Il reste au service d’Agrippine, mais sera désormais un des amants réguliers de Tullia. Il viendra très souvent à la Villa, exigeant que Tullia soit toujours disponible pour lui, ...
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