« Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (23) : Tullia e
Datte: 11/06/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Olga T, Source: Hds
... !
L’homme demande à Tullia de dénouer ses cheveux pour le plus grand plaisir de ses yeux. Le fait de dénouer sa chevelure est à Rome la marque de la disponibilité de la femme pour l’acte sexuel. La beauté de Tullia retient l’attention de Lucius : son regard se concentre sur ses seins, ses jambes et ses lèvres.
Tullia n’a pas honte d’enlever sa tunique, de placer sa cuisse sous celle de son amant, de recevoir une langue entre ses lèvres pourpres et d’inventer mille postures amoureuses.
Agermus, comme ses autres amants, se met au service de sa partenaire, Il met tout en œuvre pour que la femme puisse obtenir sa jouissance. Tullia se montre fière de braver les interdits sociaux pour assouvir sa passion et revendique sa totale liberté sexuelle et la jouissance physique.
Agermus et Tullia adoptent la position de « l’Equus eroticus », position où l’homme est vu comme le cheval et la femme comme le cavalier. La position du cheval est adaptée aux relations extraconjugales, qui se nouent pour le seul plaisir des deux partenaires.
Lucius Agermus ne s’embarrasse ni de préliminaires ni de tendresse avec Tullia. Il désire cette femme pour laquelle il n’a que mépris. Pour lui, elle est une Meretrix, une putain, pire que Messaline. Il sait par Agrippine qu’elle a accompagné Messaline à Suburre et s’est vendue dans des lupanars. Avec Agrippine, c’est autre chose. Agermus la craint et la révère. Il n’a jamais osé lui dire qu’il l’aimait. Il sait que la fille du grand ...
... Germanicus n’accepterait pas cela d’un ancien esclave. Agermus aime Agrippine au point de donner sa vie pour elle et c’est d’ailleurs ce qu’il fera, dix ans plus tard. Tout simplement parce qu’elle lui a redonné sa dignité d’homme, alors qu’il était devenu le mignon du terrible Ahenobarbus, qui avait fait de lui sa femelle.
Avec cette Tullia, rien de tout cela. Elle n’est qu’une femelle, il est un fututor. Il la baise. Elle est à lui. Traumatisé par les relations homosexuelles que lui avait imposées dans son adolescence Ahenobarbus, Agermus n’a cessé, depuis le décès de ce monstre, de se prouver sa virilité. Pas avec Agrippine, qu’il est fier de faire jouir, mais qui l’impressionne et le domine. Avec les nombreuses esclaves de la villa de Baules qui occupent sa couche et avec lesquelles il a pu développer sa virilité et son endurance. C’est la première fois qu’il a l’occasion d’exercer ses talents avec une patricienne, mais il ne fait pas la différence. Il traite cette Tullia comme il le fait avec les esclaves. Pour lui c’est une putain qu’il traite comme telle, d’autant qu’il comprend que c’est ce qu’elle veut et qu’elle aime.
Les cris de plaisir de Tullia doivent s’entendre hors de la villa et il continue à la pilonner, alors qu’elle enchaine les orgasmes :
• Tu aimes ça, chienne ?
• Oh oui, que c’est bon, baise-moi !
• Que tu es bonne ! Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette.
Tullia tend sa croupe et appelle la saillie du mâle. Agermus s’enfonce ...