1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1673)


    Datte: 11/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... contractais mes sphincters autour de ce sexe massif. La sensation de cet énorme morceau de chair au fond de mon ventre avait quelque chose d’ahurissant, d’onirique, de presque impossible. C’était comme un bâton de braise ardente qui me perçait le corps. Antoine resserrait son emprise sur mes hanches avant de prendre son élan, de se retirer, puis de se renfoncer, plus violemment encore et toujours. Je poussais des cris rauques lorsque je sentais le frottement brulant de ce pieu contre ma prostate, j’étais prêt à jouir… mais les assauts continuaient sans ménagement, sans pause, sans atténuation, toujours aussi virils et profonds. A nouveau Antoine plongeait en moi, avant d’accélérer le mouvement et de recommencer à baiser en rythme, dehors, dedans, dehors, dedans. Je savourais chaque sensation à chaque coup de reins. Je me faisais défoncer, sans avoir véritablement honte, en regardant ces trois inconnus nous dévisageant.
    
    Brigitte était une petite femme maigre avec les cheveux grisonnants tirés en un chignon serré. Elle portait des lunettes demi-lune au bout de son nez crochu. Les lèvres fines et pincées, le regard noir porté dans le mien, des rides profondes entouraient ses yeux… un physique ingrat me faisant penser à ces personnages de sorcières que l’on retrouvait dans ces livres de contes pour enfants. Les deux autres personnes, assises près d’elles, plus jeunes étaient une femme et un homme d’environ mon âge, une trentaine d’années, semblaient plutôt réservés et sages… ...
    ... trop sages peut-être ! Celle prénommée Chantal, vêtue d’un tailleur strict bleu marine, ressemblait à une hôtesse de l’air. De grands yeux bleus éclairaient son visage altier, ses cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval. L’homme, quant à lui, vêtu d’un complet gris anthracite, d’une chemise blanche avec une cravate bordeaux, avait des airs de fils à papa ou de gendre idéal issu d’une famille bourgeoise. Il nous regardait tête haute, l’air hautain, avec un petit sourire condescendant aux bords des lèvres.
    
    - Chantal, pouvez-vous donner à Monsieur le Marquis, les résultats d’analyse de sang que nous avons pratiqué récemment sur Son esclave ?
    
    - Tenez Monsieur le Marquis… tout est parfaitement normal… le métabolisme de ce putain de chien soumis est excellent malgré le traitement médical que nous lui imposons… Les boosters de libido, la testostérone, les aphrodisiaques, les injections d’acide hyaluronique dans la nouille de Votre clébard, ne modifient en rien son état de santé…
    
    Cette Chantal, bon chic bon genre, sauf dans ses propos, était contrainte de se taire un instant tant les cris d’Antoine étaient assourdissants. Il venait de se cambrer, de se cabrer en moi en jouissant violemment telle une bête en rut, Il aspergeait et en tapissait mon cul d’une quantité de foutre incroyable…. Antoine et moi, étions terrassés par l’extase, alors nous affaissions au sol, sans plus bouger, trempés de sueur en gémissant seulement !
    
    - Je vous disais Monsieur le Marquis que ...
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