1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1673)


    Datte: 11/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1672) -
    
    Chapitre 49 bis : Toujours plus de sexe en mode dépravé ! -
    
    Comme s’il voulait en finir, comme s’il espérait jouir au plus vite…
    
    - Voyez Madame Marie, l’avantage de ce traitement, en plus de maintenir excité quasiment en permanence ce chien, c’est qu’il retarde l’éjaculation, et plus l’éjaculation est longue à venir plus ce bâtard a besoin de baiser….
    
    - Mouais !, répondait Madame Marie d’un ton courroucé.
    
    - Je crois que Monsieur le Marquis nous attend, moi et mes deux collaborateurs ici présents, sommes venus lui parler de ce traitement et du suivi de cette thérapie…, disait encore cette femme
    
    J’entendais des claquements de talons près de mon visage, puis une porte s’ouvrir. Je reconnaissais la voix du Maître.
    
    - Bonjour Brigitte, Bonjour Chantal, bonjour Franck, je suis heureux de vous revoir - Nous aussi, Monsieur le Marquis, recevez toute notre considération- Entrez, installez-vous tous les trois, j’arrive dans une seconde.
    
    Peu après, en aparté, le Maître s’adressait à sa cuisinière
    
    - Merci Marie, je m’occupe de Mes deux esclaves, je te laisse conduire Juliensoumis chez Walter. Il va avoir besoin de lui.
    
    La cuisinière, marmonnait quelque chose d’inaudible et repartait en maugréant encore tout en frappant les fesses de Juliensoumis de sa cravache, tandis que le Maître me sommait de me mettre à quatre pattes tout en ...
    ... gardant la nouille d’Antoine enfoncée dans mon cul de salope.
    
    - Aller, Mes chiens, venez avec Moi !
    
    Bien difficile de marcher à quatre pattes, avec Antoine quasiment couché sur mon dos, ses mains accrochés à mes épaules, sa nouille longue et épaisse toujours ancrée au plus profond de mon conduit brulant. A peine, venions-nous d’être installés au milieu des quatre fauteuils formant un arc de cercle qu’Antoine reprenait ses va-et-vient incessants, sans se soucier des regards de ces trois inconnus, portés sur nous… Lui, comme moi gémissions tant et plus, comme deux salopes en rut et en chaleur !
    
    - Regardez ces putains comme ils baisent, il n’y a plus rien d’humain dans leur comportement, juste de la bestialité gagnée par la fornication excessive, et encore… les animaux eux, ne font ça uniquement pour se reproduire, ces deux bâtards sont contraints de se défoncer devant nous parce que nous les obligeons, parce qu’ils sont esclaves de leur corps, parce que nous les aidons à être des putains de salope… C’est bien ce que vous souhaitiez, Monsieur le Marquis ?
    
    - Exactement, ma chère Brigitte !, répondait Monsieur le Marquis, d’un ton courtois et posé.
    
    Le sexe d’Antoine écartait mes sphincters et se glissait tout entier à l’intérieur de mon ventre, jusqu’à ce que son bassin frappe violemment contre mon cul. Nous poussions des soupirs, les uns rauques et satisfaits, les autres pitoyables et tendres, désireux d’en avoir plus. Je gesticulais, me cambrais, offrait mon cul, ...
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