1. Un faux cocu


    Datte: 08/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... doute trouvé éloquent que ce couple s'attarde aussi longtemps dans les toilettes.
    
    Puis ils entreprirent une promenade digestive, les jambes un peu molles mais l'esprit réjoui.
    
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    - Tu avais bien calculé ton coup, gros cochon ! lui dit-elle en marchant.
    
    - Tu as aimé ?
    
    - Beaucoup. C'était vraiment jouissif.
    
    - C'était la première fois que tu te faisais prendre comme ça ?
    
    - Ben oui, pourquoi cette question ?
    
    - Je pensais que ton amant l'avait déjà fait.
    
    Elle s'arrêta net et le regarda, sidérée.
    
    - Mon amant ? Qu'est-ce que tu racontes ?
    
    - Quoi ? Tu n'as pas un amant en ce moment ?
    
    - Bien sûr que non. Tu te rends compte de ce que tu dis ?
    
    Alors, il se lança dans une explication un peu vaseuse, excipant de son changement d'attitude, de toilettes, d'un comportement laissant supposer qu'elle allait "voir si l'herbe était plus verte qu'ailleurs". Elle éclata de rire.
    
    - Mon pauvre ami, qu'est-ce que tu es allé imaginer ? Je n'ai qu'un homme dans ma vie, c'est toi. Mais tu es à la fois mon mari et mon amant. Tu viens de me le démontrer. Je voulais juste te rappeler que je suis encore baisable malgré mes cinquante balais. Et tu m'as baisée et bien baisée. C'est tout ce que je voulais.
    
    Il se retrouva un peu con. Mais en même temps rassuré. Ils devisèrent ensuite sur la différence entre faire l'amour et baiser. Corinne lui dit qu'il y avait un temps pour l'un et pour l'autre, mais qu'il devait songer de temps en temps à la baiser "comme si ...
    ... j'étais ta maitresse et comme si tu étais mon amant". Cette discussion raviva leur désir réciproque. Il se sentit bander et elle humide. En regagnant leur voiture, ils décidèrent d'effectuer un détour par la campagne. Ils s'arrêtèrent dans un endroit discret, sortirent une couverture du coffre, se mirent nus au soleil, se regardèrent, se caressèrent, prirent leur temps en s'excitant par les mots. Elle lui dit qu'elle voulait sa bite "longue et dure" et il répondit qu'il allait la défoncer et l'enculer. Ils commencèrent par un 69 et quand enfin il la pénétra, elle poussa un long cri longtemps contenu qui fit envoler les oiseaux de l'arbre sous lequel ils baisaient.
    
    Bien que strictement conjugal, ce fut un coït frénétique comme seuls les amants en produisent. L'éventualité d'être surpris en pleins ébats contribua à leur excitation. Christophe était survolté et Corinne très cochonne. Elle prit la plupart des initiatives de leurs positions, ne cessait de remuer son cul, jouait des pieds et des mains, suça et lécha, lui parla beaucoup de sa bite et demanda même à se faire sodomiser. Christophe l'avait rarement vue dans un tel état sexuel et calcula son éjaculation sur son orgasme dans une symbiose parfaite. Ils en rirent au soleil, s'embrassèrent et enfin se rhabillèrent presque à regret. Et regagnèrent leur voiture.
    
    Le soir, elle lui concocta son plat préféré, en bonne épouse. Ils regardèrent la télévision main dans la main et allèrent se coucher comme un couple ordinaire. ...