Semaine à Paris, jour 4 et épilogue
Datte: 08/06/2025,
Catégories:
A dormir debout,
Auteur: BPG, Source: Hds
... de cette relation. Elle voulait le sentir jouir sur elle et toujours avec le strict minimum de paroles. Ils rentrèrent donc tous les deux à l’hôtel pendant que son amant alla chercher une nouvelle bouteille de champagne dans une épicerie de nuit.
C’était une excuse qu’elle avait trouvée pour passer quelques instants pour se préparer.
L’inconnu frappa à la porte de la chambre. Elle attendait avec impatience son arrivée.
Thomas lui ouvrit la porte et le débarrassa de sa veste et du champagne. Il entra dans la chambre et découvrit Clémentine : les yeux bandés, les mains menottées, s’accrochant au dormant de la porte de la salle de bain. Elle ne portait plus que des bas, chaussée de cuissardes et une minijupe ultra courte qui devait à peine être plus large qu’une grosse ceinture. Thomas fit comprendre à l’inconnu qu’il souhaitait filmer la scène et lui proposa un masque de type vénitien pour préserver son anonymat. Il l’enfila, et laissa le mari à son plaisir candauliste. L’inconnu s’approcha de Clémentine et laissa filer ses doigts sur son ventre, puis sur sa taille. Il remonta le long de son dos, ce qui la fit frissonner. Agrippée au dormant de la porte, elle se dandina sous les effets des effleurements de son amant. Thomas les laissa volontairement s’amuser entre eux. Il filmait, tout en sirotant une coupe de champagne. Parfois il se fumait un pétard. Pendant 4 jours, ces deux-là n’avaient pas pu s’amuser plus que le temps de faire les 4 stations de métro. Maintenant ...
... ils profitaient et allaient tout doucement. Enfin surtout l’amant, car Clémentine voulait restée suspendue, offerte à ses caresses. Il se collait contre elle, pour ressentir son corps dénudé contre lui. Il se retirait un vêtement, puis reprenait les caresses, tout en respectant scrupuleusement les règles éditées. Elle fondait sur place. Elle n’avait qu’une hâte c’était d’en recevoir beaucoup plus. Si dans le métro, tout était toujours très rapide, très intense de par la précipitation, là, c’est tout l’inverse. Clémentine était sans cesse frustrée de ne pas en vivre plus. Elle tentait désespérément de garder le contact avec lui en dandinant ses fesses sur sa verge encore habillée. Et lui s’amusait de ça pour lui donner qu’à toute petite dose, de nouvelles excitations. Au bout d’une demi-heure il était toujours torse nu, et il ne faisait que caresser son buste et l’embrasser sur les épaules ou le cou. Et puis, visiblement, lui aussi commençait à en vouloir plus. Il se déshabilla, et se colla contre elle, ses mains entre ses cuisses pour les écarter, et son sexe bien calé entre ses fesses. Thomas commençait lui aussi à en vouloir plus. Il se déshabilla aussi et s’approcha de sa femme, la queue à la main.
Il glissa son sexe sur le pubis de sa femme puis entre ses lèvres pour lui caresser son clitoris.
Les règles ne concernaient que l’amant, pas le mari. Donc il pouvait lui faire ce qu’il voulait.
Les hommes tournèrent autour d’elle, complètement offerte, sans trop savoir ...