Clara
Datte: 06/06/2025,
Catégories:
fh,
inconnu,
jardin,
fête,
fsoumise,
hdomine,
Oral
fgode,
fist,
fdanus,
jouet,
sm,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
piquepince,
dominatio,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... fait mal. Il est revenu me voir. En larmes, je l’ai supplié de faire cesser. Il a refusé.
— Tu n’as pas dit tonsafeword ?
— Mon quoi ?
— Clara, putain, tu avais unsafeword, n’est-ce pas ?
— C’est quoi ?
— Le mot d’arrêt, le signal, ta sécurité. Tu dis le mot et tout s’arrête. Ça permet à la soumise de faire cesser si la scène lui déplaît.
— Mais j’étais ravie ! s’exclama Clara.
Capucine leva les yeux au ciel.
— On s’en fout ! hurla la blonde. Tu dois avoir unsafeword ! C’est nécessaire !
— Ben, j’en avais pas. Et tu lis trop d’histoires érotiques.
— Il suffit d’en lire une seule ! Toutes les histoires contenant du BDSM parlent dusafeword et de son importance capitale.
— J’en avais pas, répéta Clara.
— Il t’a torturée, assura Capucine.
— Et j’en veux encore.
— Ce n’est pas sécurisé, Clara. Tu ne dois jamais le revoir. Ce que tu fais avec lui, ce n’est pas sain pour toi.
— Il a toujours pris soin de moi. J’ai adoré ce qu’il m’a fait. Je n’ai jamais connu un tel plaisir.
— Ce n’est pas bien, Clara. Je t’assure. Qu’est-ce que ce malade t’a fait après ?
— Je ne suis plus très sûre d’avoir envie de te le dire, vu comme tu réagis.
— S’il te plaît, dit Capucine avec des yeux de chien battu.
Clara craqua.
— Je confirme. Tu m’as adressé autant de mots ce soir que dans l’année dernière tout entière, s’amusa Capucine. Ceci dit, je ne m’en plains pas ! Continue.
— Cinq kilos ? s’amusa Capucine. Je suis étonnée que tu n’aies pas perdu davantage.
— Il me ...
... nourrissait très bien, rappela Clara.
— Il a eu besoin de l’utiliser, ce fouet ?
— Non, indiqua Clara. J’ignore ce que ça fait. Il n’a jamais touché ma peau. J’ai été une gentille pouliche obéissante.
Capucine ricana.
— La peur donne des ailes.
— Je suppose, sourit Clara. On a fait le tour des jardins, magnifiques, d’ailleurs, sans jamais croiser personne. J’ignore la taille du domaine, mais il est immense. Il y avait des coins sublimes, avec des arbres majestueux. Nous avons croisé des statues, une fontaine éteinte, des parterres de fleurs et des ruches.
— Une promenade agréable en somme.
— Franchement ? Oui. Ce n’était pas aussi dur que je l’aurais cru de le tracter. Mes cuisses hurlaient parce que je suis un peu trop souvent vautrée dans mon canapé, mais en vrai, la dépense énergétique n’est pas si terrible. L’environnement sublime, le beau ciel bleu, le soleil couchant, mon corps rassasié donnaient des airs surréels à ce moment que j’ai adoré, oui. Je n’avais jamais été dehors nue comme ça. C’est très agréable en fait. Je comprends les naturistes.
Capucine sourit.
— Il a fini par me ramener au cabanon. Après avoir rangé le char, il m’a ramenée à la maison pour la cuisine puis le dîner.
— Toujours des pinces ?
— À chaque repas, rappela Clara. Je ne me souviens plus combien, quel jour.
— Je comprends, assura Capucine. Et après ?
— Il m’a retiré leshibari puis douche et dodo.
— Tu t’es endormie immédiatement, supposa Capucine.
— Je venais à peine de ...