Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 2.
Datte: 05/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Passud, Source: Hds
... remarque, encore:
"Putain ! Du coup, j'ai plus besoin de mes bouquins de cul ! C'est beaucoup mieux !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Salauds ! Vous me cassez le cul, à vous deux !".
Antoine regarde son ami me défoncer plus d'une demi-heure encore, dans plusieurs positions.
Il l'aide en me tenant les cuisses relevées, parfois, et l'encourage à me défoncer plus fort.
La bite de Roberto a passé depuis longtemps mon virage anal pour faire écraser ses couilles contre mon œillet.
Antoine me caresse la queue quand il constate que je commence à bander, sans me toucher.
Je gueule comme une chienne, puis mon gland éjecte mon sperme au rythme des assauts de Roberto.
Roberto ne tient plus en voyant mon plaisir et se déverse au fond de moi, secoué par de nombreux spasmes de jouissance.
Comme dans le camion, son éjaculation est interminable.
J'y prend énormément de plaisir.
Il s'écrase sur moi et m'embrasse en soufflant entre chaque baiser.
"Putain ! Jeune ! C'est trop bon de te baiser !".
"Merci ! Mais j'ai bien aimé aussi !".
On se détend, puis ils me posent des questions sur ma vie d'homo ...
... caché.
Ils apprennent que je baise en backroom, cinéma porno et lieux chauds.
"Mais ton maximum, c'est combien de mecs alors ? 6, 7 ?".
"Oh, non, beaucoup plus, les lieux ou je vais, sont très fréquentés !".
"Alors ! Combien ?".
"Je sais pas ! 25 à 30 ! Mais ça n'arrive pas souvent ! Et je préfère moins d'hommes qui me baisent bien comme vous, que plus qui n'assurent pas !".
Roberto en profite pour me demander:
"Mais, ça te dirai alors, que je te présente à des potes routiers ?".
"Ca va pas être possible, je dois rentrer chez moi, demain soir !".
Antoine sourit et change de sujet.
Le temps fait son affaire et les deux hommes reprennent de la vigueur.
Je joui encore de nombreuses fois, enculé à tour de rôle, en double anale ensuite, jusqu'à leurs éjaculations quasi simultanées.
J'ai dormi comme un bébé, cette nuit là !
Le lendemain matin, Antoine m'a laissé tranquille ! Pas de fellation !
On a réussi à tenir nos délais, si bien, que l'on a pu rentrer plus tôt à l'appart, à sa demande.
Il voulait profiter de ma présence pour prendre encore du plaisir, avant de retrouver sa solitude de divorcé.