1. Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 2.


    Datte: 05/06/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Passud, Source: Hds

    N'ayant pas eu le temps de faire des courses, nous trouvons une baraque à sandwichs pour nous nourrir.
    
    On se promène un peu, puis on rentre se coucher.
    
    On se couvre seulement du drap, nous sommes nus dessous.
    
    Il m'attire vers son sexe, pour que je le suce longuement encore.
    
    Il fouille mon anus avec ses doigts et me lubrifie avec sa salive.
    
    Je décide de me placer face à lui et je m'empale analement sur sa grosse queue.
    
    "Oh, c'est trop bon ! J'adore ton cul ! Pascal ! Cette fois, je vais aller jusqu'au bout, je vais tout te mettre ! T'aimes ça ?".
    
    "Oui, j'adore !".
    
    Je me tiens sur mes pieds, pose mes mains sur son torse et fais coulisser mon anus sur son gros sexe, de bas en haut.
    
    Il gémit de bonheur à chaque enfoncement qui claque sur son ventre.
    
    "Putain, c'est bon ! Tu me baises bien la bite ! T'es génial !".
    
    Je m'acharne sur lui, en me procurant plusieurs orgasmes anaux.
    
    Il m'arrête, puis me couche sur le ventre et me pilonne par derrière avec fougue.
    
    "Putain, ça rentre comme dans du beurre, je t'éclate le cul ! J'adore ça !".
    
    "Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
    
    Au bout de, presque, trente minutes de ce délicieux traitement, il se cabre et se déverse en moi.
    
    Je joui en même temps que lui, nos râles s'entremêlent.
    
    Quand il a terminé de se vider, il se tourne en soufflant.
    
    "Ouffff ! C'était trop bon encore ! Je suis vidé ! Merci Pascal, je pense que je vais passer une bonne semaine ...
    ... avec toi !".
    
    "Je pense aussi !".
    
    Je le laisse me caresser le dos, et ne me rend pas compte que je sombre, peu de temps après.
    
    Je ne le sens pas se coller à mon cul, pour m'accompagner dans mon sommeil.
    
    C'est lui qui me réveille, je vois qu'il a encore envie de baiser.
    
    Il me touche souvent les fesses, pendant que nous nous préparons à partir.
    
    "Antoine ! On va pas pouvoir bosser, si tu continues comme ça !".
    
    "Je sais, mais c'étais trop bon, hier ! J'y repense et ça m'excite !".
    
    Je décide de prendre les choses en mains et le plaque au mur pour le sucer, jusqu'à ce qu'il éjacule tout son foutre, dans ma bouche.
    
    "Ahhh ! Ca va mieux, on va pouvoir y aller ! Merci Pascal !".
    
    Mais on ne change pas un homme ! Le souvenir de nos ébats revenait sans cesse, dans ces plaisanteries.
    
    Il me taquinait dès que nous étions seuls, j'ai eu tout le mal du monde pour le faire attendre jusqu'au soir !
    
    Durant la semaine, il m'enculait une à deux fois, chaque soir, et je le suçais presque tous les matins.
    
    A deux reprises, avant de reprendre le travail, vers 14 h, il m'a possédé discrètement, sur le chantier.
    
    Une nuit, il m'a défoncé comme un fou, excité par son érection nocturne.
    
    C'est en enfonçant sa grosse bite en moi, qu'il m'a sorti du sommeil.
    
    Plus les jours passaient, plus il devenait endurant et vicieux.
    
    On prenait nos repas du midi dans un petit routier.
    
    Un jour, le jeudi, je crois ! Il reconnait un type de son âge.
    
    Il se lève pour aller ...
«1234...»