Les malheurs de Clotilde Ch. 12
Datte: 04/06/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... point de lâcher un terrible hurlement de douleur. Cela fait rire Greg.
- Avec sa bouche grande ouverte, on aura beaucoup moins de mal à lui baiser la gorge.
Sa répartie fait rire tout le monde, sauf moi, bien entendu. D'ailleurs l'un des convives en profite pour s'approcher de moi et m'enfoncer son sexe dans ma bouche et ma gorge en feu. Ils vont être une dizaine ensuite à me faire subir la même chose. Méchamment, avec violence. Jouissant dans ma bouche, ma gorge ou sur mon visage. Quand ils ont fini, la suite peut alors avoir lieu. Mais avant Greg s'approche de moi, une seringue à la main. Je crie plus de surprise que de douleur quand il l'enfonce dans ma fesse.
- N'aie pas peur sale chienne, c'est juste un petit produit pour éviter que tu t'évanouisses. Ce serait idiot que tu manques la suite de ce qui t'attends.
Ensuite, d'une violente gifle, il remet ma mâchoire en place, c'est douloureux.
Et la suite va être encore plus horrible pour moi que tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent. Quand on approche le deuxième chien devant moi, je sais ce que je dois faire. Je sors ma langue et la tire au travers de ma bouche coincée en position grande ouverte. Je le lèche, jusque à ce qu'il bande entièrement. Je m'attends à ce que le sexe de ce maudit clébard s'enfonce à tout moment dans ma bouche. Je ...
... ne comprends pas quand on l'éloigne de mon visage, que son énorme sexe bien dur quitte ma vision.
Je n'ai pas bien longtemps à rester dans l'incertitude. Quand je sens le souffle chaud de l'animal sur mes fesses, je comprends immédiatement ce qu'il m'attend. Ce n'est pas possible, ils ne peuvent pas me faire ça. C'est abject, pire que tout, mon dieu, tue-moi sur place, je t'en supplie ! Que mon cœur lâche ! Que j'ai un AVC ! Peu importe, mais dieu, pitié, fais-moi mourir !!!
Je me mets à pleurer comme une malade, ma bave coulant sur le sol. Je tente de me débattre, en vain. Alors je me mets à supplier, également en vain, pire, cela ne fait que faire rire l'assistance. Je suis au bord de la crise de nerf, quand le dogue, très lourd, grimpe sur mon dos. Je me mets à hurler à la mort, quand les griffes acérés du chien se plante dans mes seins. De fines rigole de sang, sans gravité hélas pour moi, mais si douloureuse, se mettent alors à couler. Je sens, malgré mes hurlements, le sexe du chien coulisser entre mes fesses. L'animal donne des coups de reins cherchant un trou à pénétrer. Avec horreur je sens une main guider le sexe du canidé, l'instant d'après, un gland animal se pose à l'entrée de mon sexe. Je suis révulsée, détruite avant cet horrible coït, je vais me faire violer la chatte par un chien...