Les malheurs de Clotilde Ch. 12
Datte: 04/06/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... s'approche la première avec son dogue allemand. Elle le met devant mon visage, de côté. Proche, si proche que je sens la chaleur de l'animal. Je me mets à trembler de tout mon corps, mais je ne peux rien faire pour éviter l'inéluctable, je suis trop bien attachée pour cela. La femme de Greg fait avancer le clébard, jusque à ce que son sexe soit devant mes yeux. Le pénis canin est encore dans son fourreau.
- Sort la langue, et lèche lui la bite !
L'ordre horrible vient de mon dos, j'ai reconnu la voix de Greg. Je ne peux pas obéir, c'est au-dessus de mes forces. Une minute plus tard je hurle comme une folle, tandis qu'une douleur fulgurante me traverse le corps.
- C'est une matraque électrique, la pute. Faible ampérage, voltage au maximum de douleur sans risque d'évanouissement ou de crise cardiaque. Alors évite-toi de la souffrance inutile, sors ta putain de langue et lèche la bite du chien ! À un moment ou à un autre tu le feras...
« Jamais, je le ferais jamais ! ». Je ne le lui dis pas, mais je le pense au fond de moi. Pour tout vous dire, je ne répond rien. Alors de nouveau la matraque se pose sur ma fesse, la douleur électrique me traverse et je hurle... À chaque fois Greg m'ordonne de sucer le chien, à chaque fois je ne répond pas, à chaque fois il applique la matraque sur ma fesse, envoyant la sauce, me faisant hurler.
Quand il la pose sur ma fesse pour la sixième fois, je craque.
- Arrête ! Arrête !
- Tu vas lécher la bite de ce maudit chien ...
... ?
Pour toute réponse je sors ma lange, et avec dégoût, je l'applique sur le sexe canin.
- C'est bien la pute, tu vas voir, les trois clebs sont d'une énergie et d'un érotisme impressionnant avec les chiennes de ton espèce.
Je n'écoute pas ce qu'il dit, je suis obligée de mettre toute ma concentration pour me retenir de vomir tout en léchant le sexe du chien. Rapidement mes caresses linguale font effet, et un pénis animal plus long et plus épais que ceux des hommes qui me violent depuis des jours apparaît. Dès qu'elle voit l'animal bandé, la femme de Greg me le met face à moi.
- Embrasse ton futur amant. Un peu de tendresse bordel !
Le monstre, il veut donc m'humilier jusque au bout. Il n'a donc aucune pitié ? Aucune humanité ? Et moi, je n'ai donc aucune limite à mon obéissance ? À ma soumission ? À ma destruction ?
J'ouvre grand la bouche, je lèche la bouche du chien. L'animal fait de même, sortant sa langue. On se roule un simulacre de pelle. Le chien doit être habitué, quand il se recule, c'est pour me monter. Son pénis horrible heurtant mes lèvre close, son corps se posant sur mon dos. Ses pattes sur mes fesses. Quand ses griffes se plantent dans la chair de mon cul, je hurle, alors le pénis canin entre dans ma cavité buccale, m'inondant la bouche et la gorge d'un flot de liquide pré-séminale.
La douleur est horrible, le chien me baise la bouche, me viole la gorge, comme si il prend un sexe. La douleur de ses griffes est aussi fortes que celle de mes ...