1. Aveugle


    Datte: 03/06/2025, Catégories: h, fh, hplusag, extracon, handicap, fsoumise, hdomine, humilié(e), cérébral, noculotte, Masturbation caresses, Oral hdanus, yeuxbandés, confession, dominatio, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... heurter le moindre meuble. Apaisée, je ressens une chaleur avec ma main sur son épaule. Il stoppe et se tourne vers moi. Nous sommes très proches, mes seins à toucher sa poitrine. Un frisson parcourt ma peau. Il me prend la tête derrière la nuque et m’attire à lui. Sans un mot, il dépose un baiser furtif sur mes lèvres avant de murmurer.
    
    — Chantal, je vous désire. Ne me laissez pas.
    
    Ces mots si simples et si chaleureux font chavirer ma détermination. Je me sens libre et maîtresse de prendre une décision. Et surtout il affiche enfin cette faiblesse différente de celle de son handicap que j’attends de lui. Je lui reviens.
    
    — Prenez-moi, je vous en prie. Baisez-moi maintenant !
    
    Comme je dis ces mots, je sens son sexe se dresser contre mon ventre. Je ne réalise même pas que ce n’est pas à mon époux que je demande de délivrer sa semence en moi. Il n’existe plus. Sans plus aucune dignité je vais même jusqu’à l’implorer de me baiser sauvagement.
    
    À aucun moment je n’ai tenté de comprendre mon revirement. Je voulais jouir tout naturellement et cette explication/excuse me convenait très bien.
    
    Ensuite, toute douceur quitte notre relation qui devient plus dure, brutale, bestiale. Il avait été très respectueux au début, même lorsqu’il s’était masturbé devant moi. Cette scène avait bien entendu une connotation pornographique marquée, mais restait dans mon esprit plus sensuelle que vulgaire. Maintenant, nous sommes dans une spirale de jouissance égoïste dans laquelle ...
    ... l’autre n’est rien de plus qu’un stimulant. Cela n’exclut nullement un sentiment qui agit de concert avec le sexe, pour le sexe. Du moins je le reconnais pour moi.
    
    Ses mains, ses yeux, cherchent à tâtons mes seins. Il s’en saisit et les malaxe fortement, me pinçant les pointes à me faire un peu mal au début, puis franchement mal. Aux petits cris que je pousse, il devrait bien comprendre que c’est douloureux, et qu’il devrait cesser. Mais au contraire, mes gémissements semblent l’exciter et l’inciter à continuer et même accentuer ses pincements qui me torturent. J’ai chaud, la douleur se change en torpeur et lentement j’en arrive à la souhaiter. Pas par masochisme, non, mais pour lui signifier que j’accepte et que tout ce qu’il pourra me faire subir n’est qu’un témoignage de mon abandon, de mon désir.
    
    Je m’attends à ce qu’il se couche sur moi pour me pénétrer, alors qu’il me fait asseoir sur son fauteuil.
    
    À ma grande surprise, il vient à mes côtés d’un mouvement de déplacement bien assuré. Je sursaute quand son sexe bandé vient se frotter contre la peau sensible de mon épaule et de mon bras, sur ma gauche.
    
    Ses mains sur ma tête, il se maintient contre moi. Très vite il imprime à son corps nu des mouvements de balancement. Il se branle, frottant sa queue contre moi. L’image ne doit pas être très romantique et je comprends le pourquoi du bandeau. Il ne veut pas que je le voie dans cette situation qu’il doit considérer comme plus humiliante et dégradante pour lui. Je le ...
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