P'tit déj au balcon
Datte: 01/06/2025,
Catégories:
f,
fh,
cadeau,
fsoumise,
noculotte,
ffontaine,
Oral
délire,
Humour
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... n’a rien oublié. Il m’a caressée tout en me possédant. Un véritable tourbillon de doigts et de lèvres sur ma peau. J’ai même senti ses doigts masser délicatement mes pieds en appui sur ses épaules. Un véritable sans faute ! Sauf peut-être, qu’il ne m’a jamais embrassée. Pas une seule fois. Pas même une joue sous ses lèvres. En va-t-il des artisans de la pâte comme des prostituées ?
Mais bon, c’est mieux ainsi. Une prestation rondement menée par un professionnel très qualifié. Cela me convient parfaitement.
J’en étais à me demander où avait filé tout ce temps. Comme je m’interrogeais, sur l’étrangeté de cette incroyable matinée. Car bizarrement, ce n’était pas un inconnu surgissant soudainement sur mon balcon pour me baiser en tous sens, après quelques mots seulement, que je trouvais si incroyable. Ni l’idée autant surprenante que perverse de Chloé. Non ! C’était ce qui s’était passé entre ce Richard et moi, après sa fameuse prestation. C’était ce moment qui me laissait à des pensées confuses.
À la suite de nos émois partagés sur mon balcon si accueillant, et sous une chaleur de plomb, nous étions en piteux état. J’avais donc invité Ric à prendre une douche, et il avait accepté. Ce n’était certes pas du luxe, mais je n’étais aucunement obligée de m’en faire pour ce type. Ou simplement me montrer sous mon meilleur jour de maîtresse de maison. Maîtresse tout court, devait lui suffire amplement. Mais je l’avais fait, amorçant une suite à nos ébats houleux. Après quoi, ...
... j’étais passée sous l’eau fraîche et était retournée rejoindre mon livreur. Richard était resté sur le balcon. Si j’avais remis mon peignoir, lui était resté nu, assis le plus naturellement du monde sur son siège.
Puis, nous avions partagé un autre café, et j’avais repris un croissant. Nous avions gentiment papoté un long moment, échangeant sans moquerie des propos sur ces prestations de métier, pour lesquelles Richard se donnait tant. Et bien sûr, je posais à Ric quelques questions sur sa clientèle. Le beau boulanger fut franc comme l’or, autant qu’amusé par ma curiosité, et j’avoue que je fus surprise d’apprendre que d’autres que moi avaient connu ses prestations si spéciales. Deux couples réguliers et six femmes seules ne juraient plus que par Richard. Et ce, alors qu’il n’œuvrait que depuis quelques mois seulement. De quoi voir l’avenir en rose. Cependant, pour la majorité de sa clientèle, Ric n’était qu’un excellent boulanger-pâtissier.
Richard avait ri quand je ne pouvais plus ignorer sa nouvelle érection. Alors, sans trop analyser ma réaction, je m’agenouillai devant lui. Cette fois, je pratiquais une fellation moins tumultueuse et Ric m’en fit la remarque sous forme de question. Je ne pus m’empêcher de répondre affirmativement, et avouais sans la moindre gêne que j’étais réellement très excitée de le sucer. Puis, mon peignoir, sans sourciller, quand il me demanda de me mettre nue. Un peu plus tard, j’obéis à sa demande et me caressai tout en le prenant dans ma ...