Adultère entre adultes consentants - Histoires de Sexe

Adultère entre adultes consentants

... ses lèvres et qu’à la place du baiser attendu, elle lui dise :

— Je t’en prie, sois sage, mon mari est là, il m’attend sur le parking…
— Ton… ton mari ?

Lafemme adultère dépose un petit baiser sur les lèvres de l’amant, puis prend son temps pour lui répondre :

— Oui, mon mari est là. Pendant que tu te douchais, je l’ai appelé pour qu’il vienne me chercher et me ramène chez nous. Mais ne sois pas inquiet, il n’a aucune mauvaise intention à ton égard… Au contraire, il t’est très certainement reconnaissant pour le plaisir que tu m’as procuré et il a hâte de me retrouver pour que je lui raconte mon après-midi et, qu’à son tour, il me passe à la casserole… Car mon mari et moi avons un accord : chacun d’entre nous a le droit de prendre l’amant ou la maîtresse qu’il désire, à condition, au retour à la maison, qu’il en fasse le récit détaillé de ce qu’il a fait. Ce que nous avons fait a été délicieux, et j’aurai beaucoup de plaisir à le raconter, en détail, à mon mari, mais maintenant, c’est à son tour de jouer avec moi et de me faire vraiment jouir… Salut l’ami… sans rancune… Appelle-moi un de ces jours…

Décontenancé par le petit rôle de camarade de jeux qu’on lui a fait jouer, hagard, humilié par l’évidente ingratitude de sa maîtresse, l’amant la voit se diriger vers une berline noire, garée à une vingtaine de mètres de lui, s’asseoir à côté du conducteur, se jeter dans ses bras et l’embrasser avec passion un long moment. Il voit les mains dumari, qu’il a pourtant ...

... allègrement « trompé » pendant l’après-midi, ceindre le corps de lafemme adultère, puis se glisser sous son manteau et, sans cesser de l’embrasser, la peloter fiévreusement, avec une avidité digne d’un puceau boutonneux.

— La garce… Ce que je lui ai « mis » ne lui a pas suffi… Et dire qu’au début, elle a joué la bourgeoise effarouchée… Mais… mais… mais… ils ne vont pas se mettre à baiser ici, sur ce parking, devant moi, tout de même ! Un peu de respect, que diable ! Ah les femmes, toutes les mêmes !

Quand lafemme adultère entre dans la voiture, lemari l’accueille par un regard amoureux, la prend dans ses bras et, clouant ses yeux dans ceux de son épouse, il prend sa bouche, en même temps qu’il ouvre quelques boutons du haut de sa robe, glisse une main dans la brèche et empaume l’un de ses si beaux nichons qu’il découvre nus…

— Ma belle garce, tu n’as pas remis ton soutien-gorge…
— Ni ma culotte, mon chéri, ils sont dans mon sac.
— Alors, chérie, il a été comment, celui-ci ?
— Pas mal, chéri, pas mal, mais surtout très appliqué… Je voyais bien qu’il avait un très fort besoin d’envoyer la purée le plus vite possible, mais, galamment, il a tout fait pour retarder la fin de l’envoi… Par pitié pour son dévouement à ma cause, j’ai dû simuler… et j’ai même crié… pour qu’il puisse se libérer et vider le trop-plein de ses couilles, le pauvre…

Les caresses de son mari lui arrachent un soupir. L’épouse infidèle pose une main sur celle de son mari afin de la retenir. Celui-ci ...