Adultère entre adultes consentants
Datte: 01/06/2025,
Catégories:
fh,
couple,
Collègues / Travail
hotel,
noculotte,
Oral
extraconj,
candaul,
Auteur: Et go !, Source: Revebebe
L’amant est ravi. Une nouvelle fois, le petit coq fiérot vient de passer un superbe après-midi avec une femme qu’il a baisée à sa convenance, et qui lui a semblé ravie et satisfaite de sa prestation. Il faut dire qu’il lui a fait étalage de toute sa connaissance du Kama Sutra : pendant deux heures, il l’a caressée, pincée, pétrie, léchouillée, léchée, sucée, mordillée, a pénétré plusieurs fois dans son corps, dans diverses positions, par plusieurs entrées, sans frapper, mais en cognant gaillardement son ventre contre des fesses très accueillantes…
Et pourtant, au début du repas, l’affaire n’était pas dans le sac et la dame pas encore sur les draps. Ça faisait plusieurs mois qu’il tentait de détourner du droit chemin conjugal cette belle collègue quadragénaire, au corps rebondissant de rondeurs. D’apparence réservée, même si elle n’avait pas toujours détourné son regard du sien, elle avait, par contre, toujours évité habilement ses mains frôleuses et son ventre, qu’il avait tenté, à plusieurs reprises, de plaquer contre ses fesses afin de lui signifier la fermeté et la vigueur de ses intentions.
Après avoir essuyé plusieurs refus, sous divers prétextes plus ou moins valides à son goût, il avait réussi à lui arracher un repas « strictement professionnel, entre collègues amis ». À table, quand il avait, dès l’apéritif, lancé sa jambe à la conquête des mollets de la dame, celle-ci avait retiré sa jambe hors de portée. Son second assaut avait reçu la même réponse, ...
... accompagné d’un« Voyons… ». La troisième tentative avait provoqué la même fuite, mais elle avait murmuré« Ce n’est pas bien, ce que tu fais… Je suis mariée, tu sais, et j’aime mon mari… ». Lors de son assaut suivant, elle baissa les yeux en rougissant, mais sans retirer sa jambe de la scène de crime et lors de la cinquième attaque, elle le laissa lui caresser la jambe, puis accepta que sa main se pose sur sa cuisse, et ponctua même sa remontée vers l’amont de son entrejambe par une profonde expiration, les yeux clos…
L’affaire s’était engagée donc sur de bons rails et, sans commettre d’impairs ni d’erreurs, en habitué de tels détournements d’épouses soi-disant fidèles, il sut l’aiguiller vers une chambre anonyme de l’anonyme hôtel voisin. Elle protesta un peu de sa vertu, prétendit qu’en dehors de son mari, il était le premier homme à l’embrasser, à la caresser, à la déshabiller, puis ne dit plus rien, se contentant de faire ce qu’il lui demandait, de faire et d’exhaler moult soupirs, de pousser quelques« Non… » plaintifs puis, à la grande satisfaction de l’homme, au fur et à mesure de sa progression sur et dans son corps d’ex-femme vertueuse, de nombreux« Oui ! » accompagnés de petits, puis de plus grands cris, très exaltants pour tout mâle qui se respecte.
En sortant de la chambre, il passa un bras possessif autour de la taille de sa maîtresse et, en sortant de l’hôtel, dans le but d’assurer un autre rendez-vous, il tenta de l’embrasser, mais il fut surpris qu’elle lui refusât ...