Se faire une toile… - Histoires de Sexe

Se faire une toile…

... pour essayer de gagner de vitesse la partie, mais il ne peut tenir très longtemps, face au talent de suceuse expérimentée de Patricia. Et, en effet, après quelques passages rapides de sa bouche sur le gland tenu, elle l’enfourne à nouveau en serrant le sexe à la base, et obtient sa récompense sous la forme d’une giclée chaude et gluante jusque dans sa gorge, dont elle goûte et apprécie la saveur.

— J’ai gagné ! lâche-t-elle en se redressant, tout sourire, en essuyant du revers de la main une goutte de sperme qui a glissé de ses lèvres.
— Tu es redoutable, je l’avoue, lui rétorque François, mais tu me dois la revanche !

« Une revanche ? Quelle revanche ? », se demande-t-elle. Cela risque de prendre des proportions inquiétantes… Certes, elle aime plus que tout ces aventures libertines impromptues, mais quant à les prolonger, c’est une autre affaire. Son voisin la rassure implicitement en lui confiant au creux de l’oreille :

— Accompagne-moi un moment, je vais te rendre la pareille !

Il ne s’agit donc, sur-le-champ, que de poursuivre les jeux sexuels entamés, et cela convient bien et suffit à la belle sexagénaire. Aussi, quand il se lève silencieusement pour se diriger vers les toilettes du cinéma, elle n’attend que quelques instants pour l’y rejoindre discrètement. Après s’être glissée hors de la salle, Patricia entre dans la pièce recherchée et y retrouve son complice qui l’entraîne dans une cabine, assez spacieuse et très propre. La porte à peine refermée au ...

... verrou, il plaque fermement la femme, de face contre le mur et entreprend de lui défaire sa robe. La coquine feint de se laisser faire innocemment, alors qu’en réalité elle n’espérait que cela, bien sûr. Vite, elle se retrouve dressée sur ses belles jambes fines et sent le dérisoire string glisser au sol. Déjà, François la fait se pencher contre le mur et se pose derrière le cul de la coquine, dont il apprécie en connaisseur, la rondeur et la douceur des fesses. Il engage alors sa langue tout au long de la raie, en appuyant au passage sur l’anus et en décollant, plus bas, les lèvres trempées de cyprine. Il récolte un peu de celle-ci pour lubrifier le « petit trou » de la belle, et glisse lentement, mais résolument, le bout de sa langue dans l’orifice qui cède aisément sous la douce pression.

Deux doigts engagés par dessous dans le sexe béant, il interrompt brièvement la caresse du cul de la belle et demande :

— Aimes-tu être enculée ?
— J’adore ça ! Mais vas-y doucement, s’il te plaît, avoue sans hésitation Patricia, qui, effectivement, a déjà bien souvent joui de cette manière-là, surtout lors des partouzes en club en compagnie de son amant, y compris en double pénétration. L’homme se relève alors prestement, glisse un préservatif sur sa queue dressée, puis se saisit des hanches courbes que lui offre la femme.
— Mets-la toi-même, lui glisse-t-il doucement, sachant combien il va être agréable de se sentir tenu par une main aussi élégante qu’habile pour positionner son ...