Un message trop tardif
Datte: 30/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... rebondissais sur sa bite dressée. Mon apogée a été si intense, tout mon être a lâché prise, et je me suis effondrée sur lui.
Je ne sais pas comment il a réussi le faire, je ne me suis rendu compte de rien, mais il a pris plein de photos de nous, pendant que nous faisions l’amour. Je ne me souciais plus de rien maintenant, j’étais repue et épuisée. Nous avons juste déplié le canapé, et nous avons dormi nus, enlacés dans les bras l’un de l’autre. Au petit jour, juste avant qu’il s’en aille, nous avons refait l’amour. Plus calmement, plus tendrement. Pour le remercier, je lui ai sucé la bite. Georges a toujours dit que j’étais douée pour ça, et je voulais lui montrer mon savoir-faire.
Dans la matinée, j’ai commencé à recevoir les premières photos. De nous. De moi. Dans toutes les postures, plus indécentes les unes que les autres. C'est à ce moment-là que j'ai repris mes esprits. La culpabilité. Qu'est-ce que je venais de faire ? J'avais trompé mon mari en me livrant à la fornication avec un amant qui avait l’âge de mon fils. Le bonheur de ce que je venais de vivre s'est rapidement estompé. Je lui ai fait savoir ma contrariété d’avoir été filmée et photographiée à mon insu. Malgré ses promesses de garder cela secret, je n’avais plus confiance. Le charme était rompu.
Que pouvais-je faire ? Je m'étais laissé séduire et j'en payais le prix. Je l'ai remercié pour ce merveilleux moment, mais je lui ai indiqué que cela ne pourrait plus jamais se reproduire, que j'aimais mon ...
... mari, que cette folie resterait une chose unique, et que cela ne m'arrivera plus jamais. J'ai passé les jours suivants à faire de mon mieux pour cacher ma déchéance à mes enfants et à mon mari.
( C'était fini. J'ai regardé les pages devant moi avant de remarquer une note écrite au verso. Elle m'était adressée et écrite avec une encre différente. )
« Georges. Je t'ai laissé ça. J'ai essayé d'être une bonne épouse mais j'ai commis une erreur. Je ne voulais pas te faire de mal, et je n'ai jamais trouvé le courage de tout t’avouer. J'ai écrit cette note après les faits, comme un témoignage de ce que j’avais fait. Tout est vrai. Je n’ai rien ajouté, ni rien ôté. Les deux photos ne sont là que pour prouver mes dires. J’ai détruit toutes les autres preuves, supprimé mon profil, et bloqué le jeune homme. Je n’ai jamais rien raconté, à personne, pas même en confession. Je suis vraiment désolée de t’avoir fait subir cela. Je ne sais même pas ce qui m’est passé par la tête. Je sais que tu vas me détester, mais j’implore ton pardon, si c’est possible. Je t’ai aimé. Je n’ai aimé que toi, mon chéri. Toute ma vie, sauf un bref instant. Pardonne-moi, mon amour, je t’aime. Bérengère »
C'était tout ce qu'il y avait. J'ai rassemblé les papiers et j'allais les jeter, mais quelque chose m'a arrêté. Je savais que je devais tout détruire, je ne voulais pas que mes enfants tombent dessus par hasard, et qu’ils aient un mauvais souvenir de leur mère. Mais cela faisait partie d’elle, je ne ...