Les fantasmes de Lucie (14)
Datte: 28/05/2025,
Catégories:
A dormir debout,
Auteur: Exorium, Source: Hds
... seins avec.
Elle m’a regardée faire, a retiré son pantalon, sa culotte, ouvert les jambes en grand et s’est concentrée, d’un doigt pressant, sur son bouton d’amour.
– C’est bon. C’est trop bon. Mais continue ! Continue !
– Les gens, dans le village, n’avaient pas tardé à se poser tout un tas de questions. Les langues allaient bon train. Et d’abord comment se faisait-il qu’on ne la voyait plus dehors, elle qui, d’ordinaire, adorait sortir papoter avec ses voisines ? On a rôdé autour de sa maison. Tout près. De plus en plus près. Les bruits qui en provenaient ne laissaient planer aucun doute sur la nature de l’activité à laquelle elle était en train de se livrer. Et ce, même en l’absence du mari, parti curer les fossés des alentours. Un amant ? On l’aurait vu entrer et sortir. Non. Il a bien fallu finir par se rendre à l’évidence : elle avait commerce avec le diable. On en avait des preuves formelles. Trois villageoises, qui étaient grosses, avaient successivement, en très peu de temps, perdu leur enfant. D’autres qui voulaient le devenir n’y parvenaient pas. C’était leur œuvre à tous les deux. Aucun doute là-dessus. Non, aucun doute. Il fallait absolument mettre fin, dans les plus brefs délais, à de tels agissements et ne pas les laisser impunis.
– Ils vont la punir ? Qu’ils se dépêchent, mais qu’ils se dépêchent ! Avant que je vienne…
Elle s’était introduit deux doigts qu’elle faisait frénétiquement aller et venir en me regardant. Elle a psalmodié…
– Je ...
... mouille… Je mouille… Je mouille… Non, mais comment je mouille !
– On a pris l’avis du curé. Celui des édiles locaux. Et tout le monde en est tombé d’accord : il fallait absolument, dans l’intérêt de tous, que cesse cet infernal trafic. Et il fut décidé qu’elle serait fouettée sur la place publique. Officiellement. Par un représentant de la maréchaussée.
– Elle l’avait pas volé.
– Quand on est allé, en délégation, la chercher pour mettre la sentence à exécution, on l’a trouvée en pleine action, le gode entre les cuisses.
– Tu me le prêtes ? Le gode… Je te le rendrai. Promis.
Et elle se l’est enfourné.
– Ce qui a déchaîné la fureur des femmes entrées dans la chambre. Elles se sont saisies d’elle avec force insultes et imprécations, lui laissant à peine le temps de rabattre sa robe. « Oh, t’inquiète pas ! Tout le monde le verra quand même, ton cul, va ! » Et elles l’ont entraînée au-dehors sous les cris et les huées d’une foule hostile.
– Oh, encore ! Encore ! Encore !
– On lui a fait passer les bras autour du pilier de soutènement d’un préau. On les lui a liés à hauteur des poignets. D’autres cordes encore au niveau des genoux. Puis des chevilles.
Un gendarme s’est approché. Il s’est fait un silence absolu. Tous les regards ont convergé vers elle. Deux femmes, une de chaque côté, lui ont relevé haut la robe. Très haut. Le fouet a claqué.
Et Cordelia a hurlé. Des hurlements de jouissance éperdue. Les yeux clos. La tête renversée en arrière. La bouche ...