Cadeau
Datte: 28/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... large motif des bas. Les yeux agréablement exorbités, je m’excitais de la vue de sa culotte un peu transparente, qui plaquait son pubis contre son ventre arrondi. À ce moment je vis apparaitre sa main, qu’elle posa sur sa cuisse et à l’aide de ses ongles longs vernis de rouge, elle effleura le devant de sa culotte.
Animer d’une furieuse envie de humer ce qu‘elle grattait, je me laissais alors glisser à quatre pattes sous le bureau, avançant centimètre après centimètres en direction de la fourchette de ses jambes, maintenant grandes ouvertes. Je posais la main sur son genou gainé, faisant crisser le bas et lui caressait doucement la cuisse. Je voyais et entendais son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière que je dirai très érotique. L’odeur forte que dégageait son entrecuisse me saoulait de plus en plus. À me mettre très vite dans un état second.
À ne pas pouvoir m’empêcher de poser mes lèvres sur sa cuisse, l’embrassant à travers le nylon, et de faire de même à l’autre jambe. C’était chaud et très exquis. Mon ivresse érotique me donnait un droit à tout. Surtout que la coquine ne faisait rien pour me l’interdire. Alors je continuais à l‘explorer, léchant ses bas, caressant ses mollets, ses genoux, ses pieds odorants.
Mais Françoise en espérait plus de ma part. Et elle me le fit savoir, dans un message muet, avançant son bassin vers moi, appelant ainsi ma bouche à atteindre sa motte aromatisée. Dont je humais son délicieux parfum que le désir ...
... faisait qu’accroître. Comme télécommander, ma bouche se posa sur la peau nue de ses cuisses, à quelques centimètres au-dessus des bas glissants millimètres après millimètres jusqu’au devant de sa culotte moite. Impatiente à passée à autre chose, elle écarta d’elle-même, et à l’aide de son doigt sa culotte, m’exhibant par ce geste une jolie chatte aux lèvres affublée de poils.
Je plaquais dessus, ma bouche et mes lèvres gourmandes. Ouvrant son antre de ma langue, cherchant l’instant d’après le clitoris que je trouvais aussi dur qu‘une petite bite, tant il était excité, à en émerger de sa gangue. Je commençais à la lécher, à lui téter son pustule. J’avalais agréablement le jus de son bien-être.
-Ho oui, lèche-moi ma foune, c’est bon, j’aime ça… oh putain que c’est bon !
Elle haletait, geignait, écartant ses cuisses, autant que lui permettait sa jupe, relevée au plus haut sur elle. Elle mit en appui son pied sur le bureau, pour être encore plus écartelée, plus disponible, plus impudique, offrant sa chatte trempée de désir à mon bon vouloir.
Tout de suite après, elle déboutonna son chemisier, écarta les bonnets de son soutien-gorge pour se palper les seins d’une main, l’autre se plaquant sur ma tête.
-Ho… continue, oui, tu me fais du bien… je suis proche de jouir… oui ça vient… ça vient !… Pour que son orgasme soit des plus complets, je lui enfonçais mon index dans son fourreau brûlant et je commençais à le coulisser tout en mangeant son fruit juteux, aspirant son ...