Cadeau
Datte: 28/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Après le départ du dernier client, la directrice du service de l’époque, au nom de Françoise, teintée en rousse, la cinquantaine plus que passée, de charmantes lunettes sur des yeux verts, des rondeurs bien placées, là où il fallait, était venue me voir dans mon bureau pour me demander si je pouvais verrouiller les portes extérieures, que tout était terminé, et qu’elle avait même congédiée ses collaborateurs pour pouvoir tranquillement faire sa comptabilité en toute tranquilitée.
De retour dans mon bureau je la trouvais sur mon fauteuil en train de boire un verre d’eau.
-tu permets ? Me lança-t-elle.
-je vous en prie, répondais-je en prenant place sur le divan, tout proche.
-tu ne peux pas savoir comment cela fait du bien, t’avoir terminée cette journée des plus qu’ennuyeuses !
-je veux bien vous croire. Répliquais-je, en m’apercevant qu’un stylo qui n’était pas un des miens trainée sous mon bureau.
Par pur réflexe je me levais et m’agenouillais pour m’en saisir, et là, je découvrais alors devant les yeux, un spectacle des plus intéressants, des plus excitants.
Oui, j’avais là, devant les rétines, une paire de cuisses croisées, dont les pans de son manteau écartés, et sa jupe relevée laissaient apercevoir la broderie de ses jolis bas fumés. La coquine profita alors de ma posture pour décroiser et recroiser ses jambes. De telle sorte qu’elle exhiba furtivement, mais pour mon plus grand plaisir la dentelle couleur chair et ornée d’une culotte qui me ...
... paraissait bien remplie.
J’étais resté ainsi un certain moment, contemplant le spectacle que m’offrait la coquine, plus longtemps que nécessaire pour un simple ramassage de stylo.
Comme il fallait bien mettre un point final à ce tableau affriolent, c’était avec regret que je me persuadais à me redresser. Ce fut là, que je surpris ma Françoise sourire aux lèvres, parfaitement complice, me fixant de ses yeux clairs.
-alors, ça t’a plu ? M’interrogeait-elle, simplement.
-j’avoue qu’il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas rester à contempler le toile plus longtemps.
-cela t’a fait bander ?
-il m’en faudrait beaucoup plus, ma chère Françoise, je n’ai plus seize ans.
-c’est parce que je ne suis pas à ton goût ?
-je n’ai pas dit ça ! Pour être franc avec vous ça fait longtemps que vous m’exciter.
-c’est vrai ! Comme ça tu fantasmes sur moi ?
-ça m’est arrivé, oui… je l’avoue, à plusieurs reprises !
-C’est bien ça ! Ça me fait tout drôle de savoir qu’un beau gosse comme toi se masturbe en pensant à moi. Tu ne te moques pas de moi là au moins ?
-je n’oserai jamais !
-tu m’en diras tant ! Répondait-elle.
-cela vous dérangerait que je rejette un coup d’œil.
-j’en serais ravie !
Je me laissais tomber sur mes genoux, et me gavais à nouveau d’images de ses cuisses. Et comme ce n’était pas suffisant, la coquine releva la jambe bien haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je pus observer son entrecuisse, et ainsi la lisière à ...