COLLECTION FOLLE DU CUL. Tomber plus bas que des partouzes (1/3)
Datte: 25/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... avant de la coucher.
Là, quand il me relève et me place à quatre pattes, je vais me faire enfin baiser avec un peu plus de sauvagerie.
De grand coup, me soutirant des petites plaintes de plaisir, loin de ce que j’avais espéré.
• J’aime dormir seul, salut, c’était bien.
Je me retrouve dans ma chambre légèrement frustrée mais satisfaite d’avoir accepté un autre homme que le mien en moi.
Pourquoi dire le mien, puisque je lui ai rendu sa bague ?
Le lendemain après une sérieuse gueule de bois, je veux rester sage.
Je me caresse sans atteindre le moindre plaisir.
Mon corps semble mort, douze ans de mariage et de sexe pépère ont dû l’endormir.
22 heures, je sors.
Un bar près de la gare et de mon hôtel.
• Un whisky patron.
Un whisky patron.
Un autre.
À ce rythme et buvant du whisky pour la première fois, je suis bourrée.
• On va baiser.
Suis-moi.
Beau, moche, je descends alors que je pensais rejoindre une chambre.
• Soulève ta jupe, pose tes mains sur la cuvette, j’aime sauter les salopes comme toi.
Et de deux, il va falloir que je tienne un carnet.
Celui-là se situe dans la catégorie des petits gros.
Le genre de type qui me porte sur les nerfs mais là, c’est autre chose, le whisky aidant, c’est sa queue que je veux, simplement sa queue.
La cuvette où je pose mes mains est crade, moi qui briquais ma maison tous les jours de fond en comble.
Mais la verge en moi me prenant comme une bête m’ôte tous mes tabous et ...
... quand il décharge, je me dis que c’est pour ces moments-là que je me suis évadée.
• On va dans les chiottes pour baiser beau gosse.
Quinze jours ou je descends dans des toilettes où je suis des mecs de tous genres dans leur chambre.
Souvent ce sont les femmes de service venant faire la chambre de celui qui est parti en payant qui me réveille me laissant une gueule de bois.
Combien devrais-je marquer sur mon carnet, car j’en drague dans la journée quand le démon du sexe se propage en moi.
Hier, ça a été avec Ludo un client que je voyais souvent avec lequel j’ai fait la fête à coups de whisky au point de me retrouver ce matin dans sa chambre à cent mètres de ma propre chambre.
Un mot sur la table de nuit.
« 18 heures à notre bar, cette nuit ça a été super, j’espère que ton petit cul t'a laissé tranquille. »
Mon petit cul, trou noir, à double titre, car j’étais à la limite du coma éthylique et mon anus qui me fait mal quand j’y porte mes doigts, me rappelant ce que nous avons dû faire.
Sodomisé, j’ai accepté de me faire sodomiser sans en avoir le moindre souvenir sauf la douleur de mon cul.
Il va falloir que je contrôle un peu plus ma consommation.
Mais je dois dire que dans la plupart des bars ou je lève des queues, car pour moi ce sont des queues, on m’offre de quoi boire pour pas un rond.
18 heures, Ludo m’attend devant le bar, nous entrons.
• Ludo sort cette pute de mon bar.
Salope, l’autre soir, tu étais tellement bourré que tu voulais ...