COLLECTION FOLLE DU CUL. Tomber plus bas que des partouzes (1/3)
Datte: 25/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
« Pierre, tu as été un bon mari, mais je te quitte.
Tu as essayé de me rendre heureuse, mais tu es trop gentil pour m’apporter ce que je recherche.
Avec toi, je suis un corps mort qui aspire à revivre.
Prends soin de nos enfants, tu t'y prends mieux que moi. »
Voilà, j’ai enlevé mon alliance que je pose à côté de la lettre.
Je ferme la porte de mon domicile.
La vie de mère s’occupant à temps complet de trois gamins pour moi, c’est la fin.
À trente-deux ans la petite Fanny prend la clef des champs, emportant une simple valise.
• Conduisez-moi jusqu’à la gare !
• Votre train est à quelle heure ?
• Pourquoi un train, il y a de petits hôtels bon marché ?
Ma tante Marthe étant morte, j’ai un peu d’argent me permettant de voir venir.
Quand j’ai touché mon petit héritage, Pierre en bon père de famille a voulu que nous placions cet argent.
Moi, j’ai vu que c’était l’échappatoire à ma vie qui me pesait sans qu’il s’aperçoive que j’étais une femme frustrée.
Petite j’étais impétueuse et Pierre a réussi à m’endormir par sa gentillesse.
Le problème, c’est qu’il me fait l’amour avec la même gentillesse alors que mon corps voudrait un peu plus d’impétuosité.
Je me retrouve donc seule dans cette chambre où des milliers de couples la plupart illégitimes font l’amour fougueusement.
J’ai bien fait de partir, comme ces couples, j’aurais pu me faire des cinq-à-sept et après rentrer auprès de celui que je venais de tromper.
Je trouvais ça ...
... pathétique et j’ai préféré tout larguer.
• Vous êtes de passage, c’est la première fois que je vous vois.
• Non, mais j’aimerais que vous me conduisiez dans votre chambre.
• Vous vous êtes direct, combien pour un moment ?
J’éclate de rire, premier contact avec un autre homme que le mien et où je suis prise pour une péripatéticienne.
• Une bouteille que nous allons boire dans ta chambre, ce sera suffisant.
• Vodka, whisky ?
• Martini rouge si possible.
Il est surpris, il achète une bouteille le double de ce que je la paye dans notre supermarché où nous allons faire les courses tous les samedis.
Les magasins, unique promenade depuis douze ans, date de notre mariage.
Sans oublier le dimanche déjeuner chez belle-maman veuve frustrée chez qui nous mangeons chaque fois son sempiternel rosbif aux patates.
Pierre adorant les patates, il en mange tous les dimanches depuis la nuit des temps.
• Suce ma queue.
Attends.
Il prend la bouteille de Martini, j’en ai déjà sifflé la moitié.
Je siffle une demi-bouteille cul sec, chaque fois que la tension en moi est trop forte.
Il en verse sur son sexe qui commence à bander.
C’est la première verge que je vois de si prête.
À la maison, tout juste une caresse et immédiatement pénétration.
On en met pleins les draps, mais je suce autant que je bois, m’enivrant de ce que je fais dès mon premier soir de liberté.
Si j’étais restée, à cette heure, je donnerais le bain à Lucie, ma petite dernière ...