La vie d'Anaïs - 1 - Histoires de Sexe

La vie d'Anaïs - 1

... télécommande et lance le film. Et là, c’est l’horreur. Je me vois sur l’écran, dans la buanderie. Tout y est, jusqu’au jet de cyprine, et mon nettoyage intime avec sa culotte rouge.

— Oh, mon Dieu, Madame Germain, ce n’est pas ce que vous croyez, je… Oh, je vais mourir de honte.
— Je ne crois que ce que je vois. Et je ne vois qu’une petite vicieuse qui se donne du plaisir avec mes culottes.
— Mais comment ? Je ne vous ai pas vue.
— Le bruit du lave-linge t’a empêchée de m’entendre arriver. J’ai juste sorti mon téléphone pour filmer.
— Madame Germain, effacez ça, c’est trop humiliant. Qu’allez-vous penser de moi ?

Au lieu de l’effacer, elle fait défiler le petit film en boucle. Sa main sur mon épaule descend un peu et elle me pince le téton. Je pousse un petit cri de surprise. Elle me lâche. Je reprends sa main et la tire jusqu’à mon sein. Elle reprend mon téton et le fait rouler entre ses doigts.

— Tu aimes que je te touche les seins ?
— Oh, oui, madame Germain, c’est bon. Il y a si longtemps que j’en ai envie.
— C’est pour ça que tu me montres ta culotte sans arrêt ? Tu me provoques ? Tu n’es qu’une vilaine vicieuse. Si tu étais ma fille, tu serais corrigée.
— Madame s’il vous plaît, pardonnez-moi, corrigez-moi, mais gardez-moi votre affection.
— Alors, viens tout de suite t’allonger sur mes genoux !

Je reçois au moins dix minutes de fessée. Je ne suis pas déculottée, mais elle me remonte la culotte entre les fesses. Elle n’y va pas de main ...

... morte, ça doit l’exciter de me claquer aussi fort, je crie, je me tortille, je pleure, mais je sens que je coule. Mais ce n’est pas la fin de ma honte. Elle me fait relever. Elle se soulève un peu et retire sa culotte. Elle me la tend, elle est toute mouillée.

— Retire ta jupe et donne-moi ta culotte petite vicieuse et recommence comme dans le film. Viens à califourchon sur mes cuisses, tout près, que je te vois bien. Oh, mais on dirait que tu aimes la fessée, ta culotte est trempée. Retire aussi ton haut, que je vois tes tétines. Allez, vas-y, comme le film.

Je passe sa culotte sur mon visage, et je me caresse le clitoris. Elle aussi sent ma culotte. Le plaisir vient vite. Elle me caresse les fesses. C’est quand elle me prend fermement les tétons et qu’elle secoue que l’orgasme me submerge.

— Ahhh ! Madame, je jouis. Ouiiii, touchez-moi encore, c’est bonnnn !

J’ai beau essayer de retenir mon jus avec ma main, il y en a trop. J’inonde sa robe. Je reçois une paire de gifles.

— Tiens, cochonne, ça t’apprendra à salir ma robe.
— Pardon Madame, je n’ai pas pu me retenir, j’ai les seins trop sensibles.

Elle m’attrape par le cou et me serre contre elle. J’ai toujours les cuisses écartées autour des siennes. Elle m’embrasse à pleine bouche. Elle passe ses mains partout sur moi. Quand elle m’appelle « ma petite salope », je recommence à jouir. C’est sa main qui s’agite entre mes cuisses. Elle me pénètre avec deux doigts recourbés qui touchent le point sensible à ...