La vie d'Anaïs - 1 - Histoires de Sexe

La vie d'Anaïs - 1

... être déçue ! Nous nous posons sur des transats inversés, je fais face au vis-à-vis, Linda tourne le dos. La voyeuse ne se cache même pas. Elle est accoudée sur la bordure de sa fenêtre à une vingtaine de mètres.

— Tu la vois, elle regarde ? Montre-lui ta culotte ! Remonte ta jupe ! Allume-la !
— Regardez, Linda, je remonte ma jupe, regardez, j’écarte les jambes. Oh, elle me regarde. Je mouille.
— Je vois que tu portes mon string, regarde ! Je porte ta culotte. Retire ton haut, montre-lui tes seins.
— Oh, Linda, je suis presque nue, j’ai honte.

Linda me pose une pince à linge sur chaque téton. Aille, ça pince fort. Mais c’est si bon. J’imagine le spectacle que j’offre. Je me touche à travers le string. Je dois me mettre debout à côté du transat de Linda, puis baisser le string.

— Je veux qu’elle voie comment tu gicles fort, petite salope. Branle-toi bien ! Vas-y, je te regarde aussi.
— Oh ouiii, Linda, je vais jouir. Regardez comme je coule. Je suis une vraie salope, une catin, c’est bon.

Je regarde la voyeuse dans les yeux, je ne retiens pas mon cri de jouissance. Je gicle fort, je tremble. Puis, je remonte le string. Apparemment, j’ai giclé dessus aussi, il est trempé. J’aime me promener comme çà, en string, avec des pinces à linge au bout des seins. Être soumise devant témoin… Humm ! Oh, Linda, j’ai mouillé aussi le transat. Je me place à quatre pattes dessus et je tends bien mes fesses.

— Tut-tut, je veux que tu le demandes bien fort, que l’autre ...

... t’entende.
— Oui, je mérite une bonne fessée, j’ai taché le transat. Je suis une petite pute qui jouit trop fort. Corrigez votre petite salope comme il se doit.

Je reçois une vingtaine de bonnes claques sur les fesses puis Linda baisse le string à mi-cuisses. Encore une vingtaine…

— Elle te regarde. Elle doit bien voir ta chatte qui coule, salope !
— Oh oui, Linda, j’ai honte. Fessez-moi encore, je vais jouir.
— Décidément, tu es insatiable, C’est incroyable, une juteuse comme toi.

Linda passe sa main entre mes cuisses et me touche l’abricot juteux. C’est trop, je crie encore mon plaisir, je lui gicle sur la main. Je dois ensuite la suivre dans sa chambre. Elle dispose une grande serviette de bain sur le lit (elle est prévoyante) puis me retire les pinces à linge. Elle se met nue, je dois garder le string.

— J’ai envie de sentir mon string sur toi, goûter ton jus, pendant que tu me suces la minette. Viens sur moi en soixante-neuf.

Je sens son nez me renifler, sa bouche m’embrasser l’entre-jambes. Je déguste son abricot. Elle mouille beaucoup, moi aussi. Mon orgasme monte, je me retiens, Je voudrais que nous jouissions en même temps. Elle baisse le string, le passe sous sa tête et me suce à pleine bouche. On dirait qu’elle est attachée à moi. Quand elle crie qu’elle va jouir, je lui mets deux doigts au fond de la chatte Elle pousse un hurlement de plaisir et m’arrose la bouche. Je hurle aussi en lui giclant sur le visage. Je me retourne et viens contre elle. On se ...