Que la montagne est belle !
Datte: 22/05/2025,
Catégories:
ffh,
hplusag,
Oral
préservati,
pénétratio,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... apporte un anonymat qui doit les rassurer. Je devine une langue qui pointe, Myriam paraît la plus audacieuse. J’accompagne ce tendre début par unOui, c’est bien.
C’est doucement qu’elles s’apprivoisent. J’espérais, comme tout homme qui fantasme, que les deux femmes allaient se sauter dessus. Mais on n’est pas dans un film de « cul » ou les actrices sont « polyvalentes ». On est dans la vraie vie, et dans cette vie-là, ce sont des amies, comme beaucoup d’autres. Savoir si l’une ou l’autre n’a jamais pensé à ce genre de jeu, qui pourrait le dire ? En tout cas, c’est beau.
Beau, d’une tendresse que ce baiser déjà plus volontaire n’abandonne pas.
Beau, de voir cette douce évolution, de voir les visages se pencher pour un baiser plus chaud.
Beau de voir Myriam aller poser sa main sur la nuque de son amie, de sa complice, de sa maîtresse.
Je ne peux pas voir leur regard, mais je devine tout ce qui doit leur passer par la tête. Les bandeaux sont symboliques, mais d’une certaine façon, les déculpabilisent de se laisser entraîner par leurs sens.
— Vous êtes très belles.Toujours un murmure, comme on parle à voix basse devant quelque chose qui vous émeut. Et puis je dis à Myriam, Myriam qui est manifestement la plus entreprenante. Détache sa robe.
Elle hésite à peine. Bien qu’aveuglée, elle sait où trouver le Zip. Lise ne refuse pas et laisse son amie repousser les bretelles afin que sa robe tombe au sol.
C’était une évidence mais j’en ai la preuve sous les ...
... yeux. Lise ne porte pas de soutien-gorge. La culotte est minimaliste. Je pensais que la mode des strings était passée mais pas pour tous.
— À toi, Lise.
Pour Myriam, c’est un peu plus compliqué. Il faut passer la robe par le haut, tête droite et bras levés, mais ces mouvements sonnent comme un accord.
C’est naturellement qu’elles reprennent leur baiser. Maintenant, aucun tissu ne peut filtrer leurs sensations. Elles sont de la même taille, les seins se touchent, les ventres se rencontrent. Peau contre peau.
— Vous êtes magnifiques.
Elles ne peuvent pas le voir, mais je n’en favorise aucune.
Si ma main se pose sur la nuque de Myriam, sa sœur fait de même sur Lise.
Si cette main descend lentement pour passer le creux des reins, envelopper une hanche, effleurer une fesse, se glisser entre des cuisses serrées, l’autre fait de même.
Elle ne le voit pas, mais elles ne peuvent que le ressentir. Sinon, pourquoi Lise gémirait-elle malgré le bâillon des lèvres de son amie, alors que Myriam gronde doucement ?
Je ne veux pas rompre leur contact. J’imagine que…
— Laissez-moi faire.
Elles m’obéissent. Depuis deux jours, je suis leur mentor, leur guide, leur entraîneur, aussi ma demande n’est que la continuation. Guide sur les chemins de montagne, guide improvisé pour ceux de l’amour.
Lise sent la présence du lit contre ses jambes. Sous ma pression, elle s’assied dessus. Une autre pression et elle s’allonge.
Myriam est seule. Je la rassure en la tenant par ...