1. C'est fait !


    Datte: 22/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... bégayer.
    
    - Mais qu’est-ce qui vous prends ? Vous êtes fou !
    
    - Eh ben dis donc, Madame est vachement rembourrée ! Ça ne vous tient pas chaud, toute cette graisse ?
    
    Mon ton vulgaire additionné à mon rire cynique la cloue sur place. Mais elle n’est pas au bout de ses surprises. Je glisse une main dans l’encolure de son chemisier et lui enveloppe un sein. Elle tente bien de la repousser.
    
    - Tenez-vous tranquille, sinon j’appel, compris. Imaginez la tête de votre époux. Divorce et fini la belle vie !
    
    Sidérée et troublée, Carmen cesse de résister. Je lui palpe les mamelles, les presse l’une contre l’autre ou au contraire, les écarte. À la fin, je les rabats vers le haut.
    
    - Au moins avec vous, il y a de quoi se remplir les mains.
    
    Je fais frotter les mamelons de Carme contre son menton.
    
    - Je parie que si, vous penchez la tête, vous pouvez le téter. Essayez donc !
    
    Je m’empare sans ménagement des seins de Carmen les tordit vers le haut.
    
    - Bouffez-les Madame, vos tétines !
    
    Effrayée, elle prend un de ses mamelons entre les lèvres. La petite crête de chair durcit aussitôt. Tout en la suçant, Carmen ne peut retenir un gémissement. Son téton trop sensible la trahi, fait réagir son corps malgré elle. Je presse le second bout de seins sur sa bouche.
    
    - Tétez les deux en même temps. Vous pouvez y arriver.
    
    Incapable de résister, elle happe entre ses lèvres les pointes à la peau fripée. Puis je lui donne l’ordre de se mettre à quatre pattes sur le lit. ...
    ... Carmen s’exécute.
    
    - Quel cul vous possédez Madame ! Un vrai derrière de jument ! Ça donne envie de vous monter.
    
    Du pouce, je caresse les lèvres entrebâillées du sexe. Elle gémit et donne un coup de reins. Je fouille la fente. Je déniche très vite le clitoris et le pince, la faisant crier et gigoter de plus belle.
    
    - Qu’il est gros votre bourgeon. Il a dû se faire tripoter, je tirais même souvent !
    
    J’étire l’ergot dressé, le roule entre mes doigts.
    
    - Ça vous plaît ! Les grosses ont toujours le cul chaud.
    
    J’enfonce sans douceur mes doigts dans le vagin. Carmen crie avant de s’affaler, le nez dans l’oreiller, le souffle court. Elle se met à remuer son derrière comme une folle.
    
    - Vous êtes en manque depuis longtemps. Branlez-vous !
    
    - Mais ça va me…
    
    Je coupe avant que celle-ci ait eut le temps de terminer sa phrase.
    
    - Allez ! Astiquez votre bouton.
    
    Les joues en feu, Carmen enfonce ses doigts entre les lèvres, déjà entrebâillées de son sexe. Elle gémit en pinçant son clitoris. La petite crête de chair lubrifiée par la mouille glisse entre ses doigts. Elle fait pénétrer un doigt dans son vagin. Le conduit gluant et chaud aspire son index comme l’aurait fait une ventouse.
    
    Sans hésitation, je me défais, et place ma verge souillé de ma première pénétration à l’entrée de sa vulve. D’un coup de reins je plonge dans les entrailles inondées de Carmen. Je crois défaillir tant cette révélation est brutale. Je m’immobilise au fond d’elle pour profiter au maximum ...