C'est fait !
Datte: 22/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Renifleur, Source: Hds
Carmen fait la grimace en buvant. Je pense qu’elle n’a guère l’habitude de l’alcool. Du moins une telle quantité à la fois. La patronne, lui fait engloutir du champagne comme si c’était de l’eau. Et dans la foulée, elle remplit à nouveau son verre et celui du mari. Avant d’en ajouter deux à l’intention au patron et à sa fille. La mère de cette dernière ne tarde pas à être éméché, alors que le restant de la table semble encore tout à fait lucide. Tout au plus, ils rient trop fort mais cela ne veux pas dire grand-chose. Le mari lance plaisanteries sur plaisanterie.
Comme Carmen a du mal à se tenir éveiller, avec la patronne nous sommes aller la coucher dans sa chambre alloué pour le week-end. Après avoir fermé la porte et alors que je m’apprête à descendre les marches elle me demande de la suivre. Elle m’entraîne jusqu’à une chambre libre, où tout de suite après notre passage verrouille la porte.
Elle s’est ensuite précipitée sur moi. A écarté tout ce qui l’empêcher d’atteindre mon sexe. Elle dégage ma queue avec des gestes adroits et la palpe, la faisant rouler entre ses paumes, caressant le gland du pouce. Je me mets aussitôt à gémir.
- Ah, si Hervé en avait une aussi raide !
Je ne sais de qui elle parle ! Hervé je ne connais pas.
D’un geste ferme, elle prend mes couilles à pleines mains. Elle me les frotte l’une contre l’autre quelques secondes avant de remonter délicatement vers mon pénis. Fièrement dressée comme un cierge. Elle entreprend un mouvement de ...
... branle, mais au bout de quelques secondes, voyant que je suis dans tous mes états, elle coupe court. Elle prend le temps de se soulager de sa culotte, puis s’installe à califourchon sur moi. Elle dirige mon pénis vers son entrecuisse, me fixant à travers ses paupières mi-closes comme si elle cherche à deviner ce que je pense de son petit jeu.
Elle me guide, me laissant, peu à peu, forcer son sexe, glisser centimètre par centimètre dans son vagin brûlant. Elle s’empale d’un seul élan sur ma queue dont le gland se fait happé, englouti, avalé par son sexe béant et ruisselant. Quand je suis tout entier en elle, elle commence à gémir.
Puis elle fait dansé ses reins tumultueux, dans un roulis frénétique, dont les vagues, de plus en plus rapprochées finissent par me menait au plaisir. Elle se met à me branler plutôt bien, agaçant mes terminaisons nerveuses couilles, tandis que son sexe aspire et masse mon gland comme l’aurait fait ma main. À force de chevaucher ma queue, elle perd la boule. Je sens une agréable humidité gagner mon bas-ventre et couler sur mes testicules.
Toujours sans un mot, elle abandonne sa monture et remet de l’ordre sur elle, sur sa coiffure, mais alors qu’elle déverrouille la porte elle lâche :
-Je compte sur toi pour que Carmen se souvienne de ce Week-end.
-Bien Madame !
Sitôt sortie je m’oriente dans la chambre de Carmen. Je suis reçu par ses renflements. D’un geste vif, je lui arrache le drap qui la couvre. Stupéfaite, celle-ci ne peut que ...