1. Rafik, directeur de lycée Première partie: Zahia,


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Anal Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... son zob, encore vigoureux . Nous restâmes ainsi de longues minutes, reprenant lentement notre souffle. Ce fut lui qui sortit le premier du brouillard. Il se retira de ma chatte, tout en m’obligeant à rester dans la position que je tenais depuis le début : allongée sur le dos sur le bureau, les jambes écartées, repliées de part et d’autre de ma poitrine. Je le vis mater ma chatte ouverte avec un grand intérêt. Il avait la bouche à demi ouverte et sur la commissure de ses lèvres je remarquais comme un tic nerveux. Je relevai la tête pour voir ce qu’il était entrain de regarder avec autant d’intérêt. Je ne pus rien voir de précis. Je le vis qui avançait sa main droite vers ma chatte et avec deux doigts, il ramassa un peu de sperme qui dégoulinait encore d’entre mes grandes lèvres. Il ressortit les doigts et je vis qu’ils étaient enduits d’une couche de foutre très blanc et très épais. Il les regarda un long moment avec un grand intérêt, puis les porta à ma bouche qu’il m’obligea à ouvrir. Il voulait que je les suce. Il voulait me faire goûter à son sperme.
    
    - Lahsi-‘houm ! Lahsi ezzal en-t’a3 sidek ! Ou bel’3i‘h ! (Lèche-les ! Lèche le sperme de ton maître ! Et avale-le !)
    
    « J’avais déjà goûté au sperme ; celui de mon mari. Je n’avais pas spécialement apprécié son goût et sa viscosité. Mais j’avais fini par m’y faire, tant mon mari montrait de plaisir à décharger sur ma bouche et mon visage et à me regarder sortir la langue pour ramasser le foutre qui se trouvait à sa ...
    ... portée. Je n’allais jamais trop loin, parce que je n’adorais pas, mais mon mari s’en contentait et me remerciait chaque fois, en me refaisant l’amour juste après. Mais ce que faisait Rafik, en ramassant avec deux doigts, entre mes grandes lèvres, un peu du sperme qu’il avait éjaculé et en me forçant à les lui sucer, réveilla en moi un nouveau flot de désir. J’ouvris la bouche et laissai pénétrer les doigts à l’intérieur. Je me mis à les sucer avec délectation. Je les tétais avec le même plaisir que mettait un bébé à téter les seins de sa maman. Rafik me regardait avec des yeux brillant de lubricité et en poussant de petits rires de satisfaction. Il aimait la manière dont je suçais ses doigts et dont je les nettoyais du liquide visqueux qu’ils contenaient. Il attendit que je finisse de tout lécher et sortit ses doigts de ma bouche, pour les porter une deuxième fois entre mes grandes lèvres.
    
    « Il recommença l’opération au moins une dizaine de fois. J’avais ainsi avalé, avec un plaisir non feint - que je lui montrais en claquant la langue après chaque opération - tout le sperme, mélangé à mon propre jus, qui se trouvait encore dans ma chatte. Quand il n’y avait plus rien à boire, il se redressa et se remit à mater mon intimité. Il avait toujours sur les lèvres son sourire de prédateur. Je devinais qu’il était entrain de préparer quelque chose qui allait lui donner encore du plaisir et qui, probablement, me fera très mal. Il approcha encore une fois ses deux doigts de mon ...
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