Flirt
Datte: 20/05/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
inconnu,
cérébral,
revede,
confession,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... j’adore qu’on me câline les seins ! Plus bas, je pensais au nombril : c’est si sensible aussi… Pour la chatte, ça peut attendre, elle n’en sera que plus mouillée ! Bonne et douce soirée, chère Marie.
— Bonne soirée, ma puce !
— Votre « ma puce » m’amuse et me charme : il me rajeunit !
— Je ne sais pas quel autre mot employer ! Je ne peux pas vous appeler maman quand même… Et vous êtes peut-être un peu jeune pour ça ?
— « Ma chérie » m’irait très bien, et je ne suis plus si jeune !
— Je pense que je devrais au moins embrasser votre petit ventre, alors, puisque c’est ce que vous avez l’air d’apprécier.
— Ah oui, j’aime bien, je l’avoue !
— J’ai quand même envie de remonter la tête dans vos seins : elle doit être si confortable, votre poitrine… Mais j’embrasse votre ventre, ma chérie ! Bonne nuit.
— Merci beaucoup pour votre « ma chérie ». Puis-je vous dire bonne nuit, « ma puce », en retour ?
— Oui, vous pouvez m’appeler ma puce ! Je veux bien être votre puce, moi aussi.
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Boîte vocale de Marie :
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La semaine suivante, un appel impatient au domicile de l’auteure :
— Allo Chantal ? Avez-vous passé un bon week-end, ma chérie ? Mon autre main s’est égarée en pensant à vous…
— Merci, chère Marie. Vos pensées m’ont porté bonheur, ma puce : mon week-end a été fort agréable et s’est prolongé plus que prévu. J’espère que votre main n’est pas restée toute seule dans ses égarements depuis mon message, et qu’une autre, ou ...
... plus, l’aura rejointe…
— Non, personne n’a rejoint ma main… elle est restée toute seule comme souvent. Difficile de trouver une autre fille…
— Je compatis à la solitude de votre main. Je sais qu’il est difficile d’exprimer ses sentiments lorsqu’ils sortent de l’hétérodoxie. Cela l’est toutefois moins aujourd’hui, bien qu’il nous faille encore être fines et prudentes, et vous trouverez sans doute l’âme, pardon, la main sœur.
— Merci de votre sollicitude, ma chérie. Et vous, quelqu’un a-t-il – enfin, elle – rejoint votre main ce week-end ?
— J’ai eu le bonheur de rejoindre quelques consœurs. Mais j’avais un petit avantage : elles aussi sont adeptes des préceptes de Colette, en matière de lingerie et de saine activité… Et vous, ma puce, avez-vous avancé dans vos écrits ?
— Hélas non, je n’ai pas tellement avancé. J’ai dû me plonger dans quelques révisions ce week-end !
— Je vous encourage affectueusement dans vos révisions. Le travail passe avant les loisirs, n’est-ce pas ? Du moins, le dit-on !
— Êtes-vous quand même d’accord pour embrasser mon cou et mon dos ?
— J’ai été heureuse de pouvoir vous dire « ma Puce », j’ai eu plaisir à en user tout à l’heure. Donc, oui : j’embrasse votre cou et votre dos pour vous souhaiter une nuit agréable, et, mon Dieu pourquoi pas, vos fesses pour vous susciter de jolis rêves.
— Ma chérie, merci pour vos baisers ! Je suis contente que vous embrassiez mes fesses aussi, personne n’a osé y toucher auparavant… enfin si, mais pas entre ! Moi ...