COLLECTION PUTE. Bourgeoise et pute (1/1)
Datte: 19/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... ce que voulait le gars, on écartait tout simplement nos cuisses où nous ouvrions notre bouche et on encaissait les biffetons.
Ça s’appelle se prostituer et j’ai été très bonne pendant dix ans.
Nous avions amassé assez de pognions pour décider d’investir dans l’immeuble où je viens de rentrer habiller dans un tailleur Chanel.
Nous avons profité du système moderne qu’est Internet pour ouvrir un blog très suivi donnant, nos numéros un numéro de portable pour font venir les clients.
C’est à ce moment que dans une soirée de haute tenue, payé par un homme d’affaires que j’ai rencontré celui qui est devenu mon mari.
Il ignorait que j’étais une pute payée par le maître de maison, qui reste un ami et un client, étant le seul à savoir que j’étais une tapineuse.
Le statut de femme du monde moi qui venait du trou du cul de ce même monde ça m’a plu et ça a plu à Jacinthe.
Nous avions investi dans notre appartement donnant sur les toits de Paris et je me voyais mal reprendre ma part dans notre entente nous ayant amené à nous prostituer.
Je dois dire que rapidement la simple bite de mon homme très peu porté sur la chose m’a coûté.
Avais-je anticipé de reprendre mes passes, mais chaque mois, je versais la part de mon contrat et Jacinthe continuait à se faire des clients.
C’était facile, la carte bleue de mon mari étant illimitée.
Nous connaissions le passage entre les deux rues et lorsque je lui ai fait comprendre sur l’oreiller, je la rejoignais de temps ...
... en temps, que comprenant mon envie de me refaire des michetons que nous avons mis en place ce stratagème.
Rue X, j’étais une bourgeoise bon chic bon genre, rue Y, j’étais la ribaude qui se donnait autant que faire ce peu à tous ses clients voulant passer un moment agréable.
Je limitais mes passes aux mercredis, jour où Félix avait son conseil d’administration et où j’avais les mains libres.
Enfin, les mains libres, avec mon expérience, je savais m’en servir, pour masturber mes clients après qu’ils aient aligné leurs biftons.
De temps en temps Félix se rendait à Strasbourg ou à Bruxelles, car sans que j’en dise plus, il travaillait pour les milieux européens.
Je savais ses déplacements afin que notre bonne prépare sa valise.
Ces jours-là et même c’est soir là, je franchissais le passage pour me faire des clients, du pognon et satisfaire mes envies de débauche avec des gommes de toutes conditions.
J’ai vu un film avec Deneuve et Piccoli se faisant des clients et faisais partie du club de tennis de sa ville.
C’était mon cas, j’étais une mondaine dans tous les sens du terme.
Félix aussi jouait au tennis en double avec moi.
J’avais quitté mon village à cause des ragots, parmi ses amis, j’ai vite repéré quelques-uns de mes clients.
La première fois, ça m’a fait drôle, mais comme tout s’est bien terminé, j’ai continué à me prostituer.
Un jour, je venais de me faire un client, lorsque l’on a sonné.
J’attendais un autre client, Félix étant à ...