1. COLLECTION PUTE. Bourgeoise et pute (1/1)


    Datte: 19/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    • Taxi, conduisez-moi rue de la Boétie, je vous dirais où me déposer.
    
    • Oui, madame, nous y serons dans moins de dix minutes.
    
    Le taxi est venu place Charles-de-Gaulle où Pierre et moi avons notre appartement.
    
    Comme l’a dit le chauffeur, en neuf minutes, il me dépose à cent mètres de l’endroit où je me rends.
    
    Je paye mon taxi et je remonte la rue jusqu’à un immeuble que je connais bien.
    
    Je viens là tous les mercredis après-midi.
    
    Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche tout semble comme les autres semaines, j’entre.
    
    Je connais le chemin et rapidement je sors dans une autre rue dont je tairais le nom.
    
    Je viens m’assoir sur une place sous un arbre regardant si par la porte d’où je viens de sortir aucune autre personne en sors.
    
    Sûr que mon stratagème habituel a une nouvelle fois fonctionné, j’entre dans un autre immeuble et je monte au dernier étage.
    
    Inutile de sonner à la seule porte se trouvant sur le palier, elle est ouverte et Jacinthe est là.
    
    Nous nous embrassons amoureusement nous sommes amantes depuis notre plus tendre enfance.
    
    Bien sûr, dans notre village du centre de la France depuis la maternelle, notre amour était amitié jusqu’à nos seize ans où nous avons trouvé les joies des corps qui se mélangent.
    
    À dix-huit, Jacinthe a définitivement perdu son pucelage par une vraie bite.
    
    Je lui avais déjà ôté avec mes doigts et un gode que nous nous étions fabriqués en le taillant dans du bois de chêne.
    
    Ce jour où elle est devenue ...
    ... définitivement femme, c’était classiquement au bal du 14 Juillet.
    
    Moi, j’ai attendu quelques mois de plus à la fin de l’hiver suivant, le soir des feux de la saint Jean au bord de la rivière traversant notre petite ville.
    
    J’ai eu tellement d’hommes après ce premier que je suis dans l’impossibilité de mettre un visage sur ce garçon m’ayant dépucelé, moi aussi avec une vraie bite.
    
    Comme pour Jacinthe nos jeux entre filles m’avaient déjà donné bien du plaisir.
    
    Il faut dire que garçons et filles nous avions un peu picolé et Jacinthe un peu moins soule que moi m’a confirmé que j’avais roulé dans le sable chaud à l’autre bout de la plage où le feu avait été allumé.
    
    Nous sommes restées au village jusqu’à Noël, mais le bruit a couru que nous étions deux gouines et dans ces lieux assez frustes ce genre de mœurs était loin de faire l’unanimité.
    
    C’est Bob le garçon qui m’avait dépucelé, qui par vengeance voulant avoir une liaison avec moi et que j’ai repoussé, a fait courir ce bruit bien réel toutefois.
    
    C’est moi qui ai décidé de rejoindre la capitale persuadée que dans cette grande ville nous serions tranquilles et qu’il nous aurait été facile de trouver du travail.
    
    La crise était là et à part quelques petits boulots de-ci de-là.
    
    Nous avions trouvé une chambre dans un hôtel minable près de la place Pigalle et nous vivions d’amour et d’eau fraîche, car souvent le petit frigo présent dans la chambre était vide.
    
    J’avais déjà perdu cinq kilos quand un jour où ...
«1234»