La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1677)
Datte: 18/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... alors qu’une autre queue imposante me défonçait la bouche. Pris en sandwich, embroché de part et d’autre, ces queues embrasaient mon cerveau, je branlais ces chibres, tant avec ma bouche qu’avec mon cul, sans relâche avec assiduité, avec plaisir et une certaine délectation. Je sentais une douleur vive au fond de mon rectum, suivi d’un bonheur intense, comme une drogue folle qui me coulait dans les veines, un orage qui me fracassait les muscles de mon cul, une tempête sauvage balayant mon cerveau. Les deux mains de cet homme occupé à me sodomiser, m’empoignaient violemment les hanches, incrustant ses doigts au plus profond de ma chair jusqu’à y laisser des marques rouge et douloureuses, alors qu’il entamait des va-et-vient de plus en plus profonds. Je soufflais, souffrais, jouissais mentalement de le sentir en moi. Il me souillait et me ravageait de l’intérieur. Je me cabrai comme une chienne en chaleur, suppliant en geignant, frappant le sol avec mes mains, alors que par la seule force de ses bras, il me plaquait violemment au sol avant de gicler sa semence remplie d’addictifs qui me coulait dans le ventre me réchauffant le corps et l’âme. L’autre, celui installé dans ma cavité buccale arrosait peu après ma bouche, tapissait ma gorge par de longs et abondants jets crémeux.
Il n’y avait plus aucune humanité dans nos comportements, uniquement de la bestialité, et encore ! N’étais-je pas qu’une chose dégénérée, totalement dépravée et décérébrée, esclave de mon cul ...
... vaginalisé… Je restais allongé à même le sol, les trois mâles étaient de nouveau enchainés. Tous trois me regardaient avec férocité, tels des fauves toujours plus affamés. Le premier ayant giclé dans ma bouche se masturbait de nouveau, il se branlait lentement en écartant largement les jambes. Sans la moindre pudeur, il s’affichait ostensiblement, comme s’il voulait me montrer, que lui, esclave mâle, il pouvait user de sa queue comme il l’entendait, comme il le voulait, ainsi, il me montrait sa supériorité face à moi qui n’était qu’une femelle à couilles selon les dires de Madame Brigitte. Je prenais ainsi conscience de la place qui était mienne, au plus bas dans la hiérarchie sexuelle, juste un oméga transformé en une chienne lubrique affamée de bites. Et cette bite, là, branlée sous mes yeux, bien raide et bien dure, ne m’appelait-elle pas, ne me conviait-elle pas, ne m’invitait-elle pas ? Oh que si… Il me la fallait, je la voulais. Alors sans plus réfléchir, j’allais à sa rencontre, avançant vers elle à quatre pattes, langue pendante telle une vraie salope en chaleur. Oui en chaleur ! J’étais bel et bien surexcité, surchauffé, enflammé totalement déchainé. A moitié fou, délirant dans les vapes de plaisir, accroupi, sans aucun préliminaire, je plantais mon cul sur ce chibre d’un bon calibre et m’enfonçait, m’empalait doucement mais sûrement en poussant un feulement, telle une tigresse en chasse d’un mâle. Les puissants aphrodisiaques qu’on m’avait inoculés agissant à l’évidence avec ...