1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1677)


    Datte: 18/05/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1676) -
    
    Chapitre 51 bis : Une overdose de sexe -
    
    A quatre pattes, il s’avançait vers cette femelle soumise esclave pour ensuite placer sa queue directement dans la bouche de celle qui continuait à se goder comme une folle en manque de saillies... Antoine ne me regardait pas, son regard sans expression restait figé au sol. Il se faisait biberonner sans état d’âme pour assouvir ses besoins lubriques qu’on lui avait provoqué. Il s’enfonçait dans cette bouche et faisant bouger simplement ses hanches pour se faire dévorer. Il baisait cette cavité buccale jusqu’au fond de la gorge de cette femelle en rut, jusqu’à ce que son visage soit enfoui entre ses cuisses, respirant follement au-dessus d’elle, faisant coulisser son sexe parfois avec lenteur, parfois avec sauvagerie… Après un long moment ainsi, Antoine se retirait enfin, se cambrant vers l’arrière, me laissant voir entre ses cuisses son sexe ruisselant, pour saisir et retourner cette femelle en levrette et la sodomiser sauvagement dans un copulation anale digne d’une saillie équestre, d’un étalon sur sa jument.
    
    A cet instant, entraient dans ma cellule, Pierre et Maxence. Avant que je puisse faire un quelconque mouvement, le lourd et costaud Pierre se jetait sur moi, m’immobilisant au sol, à plat ventre, en posant ses fesses sur mes épaules. Ses deux grosses paluches m’écartaient les fesses, dégageant ...
    ... ainsi mon sillon, alors que Maxence m’injectait une nouvelle fois, pour la troisième fois, des aphrodisiaques puissants. Cette fois-ci, plus encore j’étais terrassé, je sentais la main immense de Pierre qui m’enserrait la nuque, tout mon corps se décollait du sol, et mes genoux frottaient contre ce linoléum, à mesure que ce type me trainait derrière lui, comme on traine un chien qui a mal agi. Trop défoncé par ces drogues pour faire quoi que ce soit, je me laissais malmener, d’ailleurs qu’aurais-je pu faire d’autre ?... Je me contentai de pleurer, mon corps chaud, parcouru de frissons et de suées, mes yeux embués de larmes. J’étais emmené vers un autre lieu à travers ce long couloir de laboratoire où je voyais défiler maintes cellules occupées de chaque côté au fur et à mesure que j’avançais. Nous quittions ce couloir prenant une porte latérale pour emprunter des escaliers, ressemblant à ceux d’un hôpital, pour arriver dans le sous-sol de l’établissement… Sans un mot, sans même paraitre faire le moindre effort, Pierre balançait son bras vers l’avant, et je m’envolais, retombant lourdement sur le sol dans cette pièce sombre où nous étions désormais arrivés. Je restais de longues minutes ainsi, secoué par des spasmes odieux, mon corps et principalement mon entrejambe en chaleur, le souffle court. Ici, je respirai une odeur animale, de sueur et de sexe. Je relevais enfin la tête pour enfin apercevoir sous la lumière d’un soupirail, trois hommes enchainés, suants, complètement nus, ...
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