1. Infidèle ? Non.


    Datte: 17/05/2025, Catégories: fh, extracon, voiture, amour, rencontre, videox, Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe

    ... fois encore de ses mots, de ses confidences et de mon jouet, aussi. Sans porno cette fois, j’avais assez d’images dans la tête pour n’avoir besoin que d’une sensation physique en plus, même en plastique.
    
    Ce soir, il m’a donné rendez-vous sous un abribus. J’y suis allé en confiance, un peu effrayée mais de la bonne façon. Et son sens du spectacle a fait le reste. Un poids lourd comme carrosse, il a réalisé un vieux fantasme que je lui avais confié. Ça n’est pas le fait qu’il exauce un souhait qui m’a plu : c’est qu’il m’ait écoutée.
    
    On a roulé, on s’est allumés mutuellement en discutant, et on s’est fait jouir de nos bouches, divinement.
    
    La suite de la soirée nous a enflammés et j’ai joui encore, sous ses yeux, sous les assauts d’un inconnu qui m’avait payée pour le faire.
    
    Ça n’est pas le fait de jouer la pute, ou bien l’énorme sexe de cet inconnu qui m’a fait jouir. Enfin, il y est pour quelque chose, si, sois honnête Audrey. Le sentir si gros, aller et venir en moi, si puissamment, contre de l’argent, était primitif, moralement litigieux et mécaniquement délicieux.
    
    Mais le regard d’Eric, quand l’autre me prenait par derrière, ce regard doux et fort en même temps qui me disait que je peux être à la fois moi-même, libre, et à la fois à lui… C’est ce regard qui m’a fait jouir en fait.
    
    Je l’ai rejoint au pied du camion à l’instant. On s’embrasse langoureusement, alors que j’ai encore sur ma joue et dans ma bouche le goût de l’autre homme qui vient d’éjaculer. ...
    ... Et Eric m’embrasse sans s’en soucier, non, sans que ça ne change sa vision de moi. Je lui plaisentièrement, et ça, ça ne m’était encore jamais arrivé.
    
    — Tu me plais tellement, me dit-il.
    
    Je l’emmène dans le carrosse qu’il m’a offert pour la nuit. Et c’estentièrement à lui que je vais m’offrir.
    
    ***
    
    Ça ressemble presque à ces cabanes sous les étoiles, un peu en dehors du temps. Celle que petite fille j’aurais rêvée d’avoir. Appuyée sur la vitre froide, je sens la chaleur de la cabine sur le reste de mon corps presque nu. Une douce sensation de contraste qui me fait dresser le bout des seins dans un frisson.
    
    — Déshabille-toi aussi sinon ça n’est pas juste.
    — À vos ordres, Madame.
    — Tu n’es pas un soumis, menteur, dis-je en riant.
    
    Il est beau. Simplement beau. Pas sculptural au sens grec du terme. Non, il est beau parce qu’il s’en fout de comment il peut être perçu.
    
    OK, il a quand même des attributs physiques… appétissants. Il est mince, ses muscles sont fins mais bien dessinés. Il a un beau visage, en tout cas pour moi. C’est vrai que je trouve Brad Pitt moche, et Pierre Arditti beau. Alors je ne suis peut-être pas une référence en la matière. Il quitte son pantalon avec un mélange de maladresse et d’élégance, très charmant, et s’assoit en face de moi, presque nu lui aussi. Un boxer VS ma robe de laine autour de moi, mon petit modèlevirgin killer comme les Japonais l’appellent.
    
    Je tends la jambe vers lui, on est tous les deux sous ces étoiles dans la ...
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