1. Le lendemain de mon dépucelage.


    Datte: 16/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... caresse.
    
    Sans me soucier des conséquences, dicté par mon excitation, je sortis ma queue de mon short et commençais à me masturber. Délaissant ses nichons aux pointes tuméfiées, Lorette s’examinait le ventre, à présent. Sa nudité m’excita au plus haut point.
    
    Entre les hanches larges, sa vulve s’étalait dans les poils sombres. La cousine était visiblement excite, les lèvres épaisses et ridées de sa fente s’écartaient sur un filet de mouille. S’installant commodément dans son oreiller, elle écartait les cuisses, pour le plaisir de mes yeux, et se passa les doigts dans la fente. Elle s’abstenait de bouger pour ne pas réveiller Corinne, qui dormait à ses côtés.
    
    Cessant un instant sa caresse, elle respira longuement. Puis elle se remit à se palucher avec plus de rapidité. Au bout de quelques instants, elle fit glisser le draop qui couvrait Corinne jusqu’à ses pieds. la chemise de nuit qu’elle portrait était rmontée assez haut, assez pour apercevoir son cu. Dans sa position, elle paraissait même l’offrir. Entre ses fesses joufflues, des poils noirs dépassaient, on devionait l’anus, et plus bas, à la jonction des cuisses, le nid de la vulve. J’aperçus entre les fesses entrouvertes des poils. Le ...
    ... spectacle était des plus excitant. J’avais très envie d’y coller ma figure. Devinant l’endroit très odorant, et donc très excitant.
    
    Lorette s’agenouilla, et à quatre patte renifla la fente du cul et la vulve de sa cousine. Luttant comme je le faisait à l’envie de la lecher. Fouillant sous son oreiller, elle tira à elle un gode. Il était long et mince. Lorette suça délicatement l’objet et l’ajusta à l’entrée de son puits d’amour. À l’aide de courts va-et-vient, sans quitter des yeux la fente de sa cousine, elle le fit disparaître de plus de la moitié, puis se l’enfonça dans son entier. Elle le manoeuvrait du bout des doigts. Tout à sa jouissance, elle ne prenait pas garde à ses soupirs rauques, ni aux bruits mouillés qui s’échappaient de son vagin.
    
    Mes yeux rives à ses doigts, je ne pu m’empêcher d’éjaculer sur la tomette. Quant à Lorette, elle repoussa du bout des doigts le gode au fond de sa chatte, et posa sa main libre sur les fesses de sa cousine. Qui se mit tout de suite à gémir dans son sommeil.
    
    Là, un bruit de porte se fit entendre, ce qui provoqua chez moi, une fuite. De peur de me faire surprendre, je me résolu à ne plus retourné voir mes cousines. Me contentant d’une nouvelle masturbation. 
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