Le lendemain de mon dépucelage.
Datte: 16/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Je m’étais mis à l’abri des rayons du soleil. Les plus jeunes de mes cousins et cousines gambadaient autour des adultes toujours tablés. Toute la matinée, j’eus la tête ailleurs. J’avais hâte d’avoir des nouvelles de Christiane. Elle, qui m’avait dit le lendemain de mon dépucelage qu’il fallait pour le mieux de tous le monde, quand ne se vois plus pour l’instant. Qu’elle me ferait signe si elle détectait aucun danger pour quand se revoie.
Malgré moi, sans toujours m’en render compte, je ne quittais guère ma tante des yeux. Elle parlait avec ma mère. Je ne me lassais pas d’amirer ses cuisses que sa mini dévoilée. De ses seins libres sous son tee-shirt. Je revivais l’instant où ma bouche s’agitait sur son clitoris, et cette façon qu’elle avait d’extériorisé son plaisir. À un moment, je ne pus resister et allais m’isoler dans la grange pour me masturber.
Au moment d’aller rejoinder nos chambres, tout de même déçu de ne pas avoir eu de nouvelle de Christiane, je constatai que mes cousines, Lorette et Corinne avaient elles-aussi intégrées leurs couches.
Désappointé, je m’installai dans mon pieu dans le noir et sortis la culotte de ma tante. Agacé, j’avisais, pour très vite me mettre en tête d’aller jouer les voyeurs.
À tout hazard, j’allais rôder dans le couloirs désert. Toute la famille ayant regagner leurs chambres respectives. Je reconnus les voix de mes cousines, entrecoupées de petits rires excités. M’avançant, je parvins après avoir entrouvert la porte, à ...
... risqué un oeil à l’intérieur.
Assises sur leur lit, à la lueur du plafonnier, les deux jeunes filles se livraient à des confidences sur leur vie intime. Devant la porte je tendis l’oreille.
Très vite la voix de Lorette s’était voile, son récit l’avait manifestement excité. Elle prit alors Corinne par les épaules, mais celle-ci se dégagea.
-Laisse-moi, tu es folle!
-Et alors?
-Alors quoi?
Prétestant la chaleur dans la chamber, Lorette fit passer son tee-shirt par-dessus sa tête, et m’apparut pour mon plus grand plaisir nue. Ses seins lourds aux mamelons dresses se balancèrent sur sa poitrine. Corinne parut médusée.
-Qu’est-ce que tu fous, mais toi à l’aise, merde!
Corinne froça les sourcils et répliqua d’un ton pincé.
-Je sais ce que tu veux!
-Ah oui, tu sais ce que je veux, et alors?
-Pas ce soir.
-Et pourquoi pas?
Dans un movement d’humeur, Corinne se retourna et se coucha. Au bout de quelques minutes, ayanyretrouvé son clme, elle laissa tomber un bonsoir ironique et conciliant à Lorette.
Déçupar la tournure des événements, j’attendais tout de même que Lorette éteigne la lumière pour retourner dans ma chamber. Ma Lorette s’examinait attentivement les seins. Pressants les chairs entre ses doigts. Peu à peu, ils s’approchaient de ses areoles grnues et roses. Sous l’effet des attouchements répétés, ses mamelons s’allongeaient. Elle se mit à les grater, à les pincer, à les étirer même. Lorette paraissait prendre du plaisir à cette ...