COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Le père Julien et le fils Jules (1/2)
Datte: 16/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... bien des femmes, j’aime le goût du sperme dans ma bouche.
Je quitte donc le chalet et fraîche comme un gardon, je me hâte lentement pour dévaler la pente.
Fraiche comme un gardon, j’ai entendu cette expression sans bien savoir ce qu’elle veut dire, surtout qu’ici, ce sont plutôt des truites que l’on trouve dans les torrents.
Bref, j’arrive à la ferme, le père Julien est là, fidèle à lui-même, son éternel mégot au coin de ses lèvres.
• Ah ! te vla, j’ai failli attendre, sers-toi un café le temps que j’aille pisser un coup et après au travail.
Toujours aussi aimable le père Julien, je comprends pourquoi Jeanne sa femme a pris la poudre d’escampette.
Les toilettes ont la porte donnant dans la cuisine, j’entends clairement les jets d’urine gicler dans la cuvette, je me sers un café dans une tasse douteuse que je finis de boire lorsqu’il arrive.
• Laisse tomber, Jules fera la vaisselle lorsqu’il reviendra du champ du haut qu’il est parti faucher.
Il a emmené Rust, tu seras tranquille pour ramasser, sinon comme il semble bien t’aimer, il serait toujours à te sentir le cul.
Quand je disais qu’il avait un langage châtié !
Nous sortons et nous nous dirigeons vers le potager.
Dès l’entrée, je vois des citrouilles qui commencent à murir.
Elles sont déjà assez imposantes, à l’automne nous aurons de quoi ...
... faire des soupes bien chaudes avant de redescendre à Besançon pour l’hiver.
Peu adepte du ski de fond, l’hiver est trop froid pour que nous restions ici, nous serons de retour au printemps.
Automne et printemps, les deux saisons les plus agréables dans nos montagnes jurassiennes.
Ça fait une heure que je cueille, j’ai déjà fait ça chez ma grand-mère, mais à une moindre échelle et mon dos commence à me tirer.
Le père Julien est derrière moi, il a pris un rang d’avance et m’a rattrapée.
• On t’a dit que t’avais un cul à faire du cinéma Anne !
Toujours autant de tact, surtout qu’il me caresse les fesses comme s’il flattait la croupe de Jeanne, son cheval.
• Pierre, il te la met dans le cul !
Jeanne, la salope qui s’est tirée, avait-elle aussi un cul à faire du cinéma.
C’est pour ça qu’elle est partie avec son Italien, il a dû lui promettre de la faire tourner.
Les tournantes, j’espère que c’est dans un bordel d’Italie qu’elle les a faites une partie de ces années, bien que depuis le temps elle soit hors-service.
Je savais le père Julien un peu rustre, mais là, ça dépasse tout, pourquoi je lui réponds.
J’ai encore le souvenir de nos soirées entre Pierre et Noël mon neveu à moitié guadeloupéen avec lequel je me laissais sauter en double pénétration pour mon plus grand plaisir.
• Ça m’est arrivée ...