Atterrissage caliente à Fuerteventura (4)
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Nostagique44, Source: Xstory
... rendis pas compte immédiatement mais je venais de faire un choix, de résoudre le problème… J’improviserais avec Eva ce soir : je ne suis jamais à court d’idées !
La porte de la chambre venait de s’ouvrir, laissant le passage à Ingrid drapée dans un kimono rose et blanc avec un ramage de cerisiers en fleurs. Elle s’approcha du lit, se mit à genoux sur la moquette d’épaisse laine grise et m’enlaça tendrement pour me souhaiter le bonjour avec un tendre baiser.
—Gut Morgen, mein Schatz! Gut geschlafen? (Bonjour, mon trésor ! Bien dormi ?)
— Oh oui ! Avec toi, je me suis cru au paradis en ouvrant les yeux.
— Alors moi, je me suis sentie hyper heureuse avec l’homme qui m’a rendue totalement dingue de lui, hier au soir et cette nuit.
J’en ai profité pour passer une main dans l’échancrure du kimono et saisir un sein. Ingrid avait également de la suite dans les idées car elle venait de passer sa main sous la couette et s’était saisie de l’objet de ses désirs… objet qui, avec le traitement qu’elle commençait à lui faire subir, n’allait pas tarder à se manifester dans toute sa splendeur.
— Wouahou !... En forme, on dirait.
— Tu t’étonnes ? Avec tes doigts de fée…
— Il serait peut-être plus judicieux qu’on aille prendre notre douche, et ensuite on prendrait le petit déjeuner, ne crois-tu pas ?
— À moins que tu veuilles prendre ton petit déjeuner à la source tout de suite…
— Sous la douche, si tu es sage !
Nous sommes passés dans la salle de bain. D’un ...
... mouvement d’épaules gracieux, Ingrid s’était débarrassée de son kimono qui gisait sur le sol, faisant une tache claire sur le carrelage sombre. Moi, je ne m’étais pas encombré de mon peignoir de bain ; j’étais resté tel que j’étais dans le lit : nu, comme Adam dans les jardins du paradis (ne cherchez pas un jeu de mot inexistant) et j’avais traversé la chambre puis la salle de bain pour me retrouver avec ma compagne dans la douche à l’italienne. Elle se blottit contre moi, de dos, plaquant ses fesses contre mon bas-ventre ; il n’en fallut pas plus pour que ma verge, nantie d’une force indépendante, se dresse pour se caler directement dans la raie de ma compagne et en diriger le gland contre son anus.
Elle passa une main derrière elle pour se saisir de mon sexe, l’abaisser un peu afin de le placer plus bas, à la naissance de sa chatte. Prenant appui sur la barre de maintien scellée dans le mur, elle se recula un peu, écarta ses cuisses, cambra son fessier en arrière et creusa son dos, prenant position afin de me faciliter l’introduction dans ce havre de bonheur. Tout était chaud, mouillé lubrifié, ardent… Aussitôt ressentit-elle mon gland au seuil de son vagin qu’elle fit un mouvement de son arrière-train. Je me sentis aspiré en elle jusqu’à la garde.
Elle prit la direction des opérations. C’est elle qui se faisait l’amour en se servant de moi. Elle reculait et avançait son bassin en contractant ses muscles vaginaux. Parfois elle entamait une danse polynésienne, prodiguant ...